Avant d’être rebaptisé La Loi de Téhéran, le second long métrage de Saeed Roustayi s’intitulait Just à l’international, référence aux millions d’Iraniens ayant plongé dans l’enfer du crack. Après avoir pensé un temps tourner un documentaire sur le nouveau visage d’une toxicomanie ayant pignon sur rue pour ainsi dire, le réalisateur a finalement opté pour un polar d’un noir d’encre mettant aux prises Samad l’impeccable Payman Maadi, vu notamment dans The Night Of et Une séparation, un flic obstiné, et Nasser Khakzad le non moins excellent Navid Mohammadzadeh, un narcotrafiquant sans scrupules, engagés dans un duel sans merci. Un affrontement classique pour un film l’étant beaucoup moins, Roustayi dépeignant une réalité blême avec un souci constant de vérité, et sa mise en scène virtuose servant un thriller nerveux, efficace et sinueux qui éclaire un visage méconnu de la société iranienne. Un must. polar De Saeed Roustayi. Avec Payman Maadi, Navid Mohammadzadeh, Houman Kiai. 2 h 15. Sortie 28/07. 8
Lecompositeur américain d'origine iranienne au style néo-classique et électronique Ramin Kousha signe la musique du drame iranien de Saeed Roustayi, lequel avait fait appel à Peyman Yazdanian sur "La Loi de Téhéran" (2021). La partition apparait essentiellement à la fin du film, au terme d'une fresque familiale basée sur les déchirements et les débordements deCritiques Cinéma SYNOPSIS En Iran, la sanction pour possession de drogue est la même que l’on ait 30 g ou 50 kg sur soi la peine de mort. Dans ces conditions, les narcotrafiquants n’ont aucun scrupule à jouer gros et la vente de crack a explosé. Bilan 6,5 millions de personnes ont plongé. Au terme d’une traque de plusieurs années, Samad, flic obstiné aux méthodes expéditives, met enfin la main sur le parrain de la drogue Nasser K. Alors qu’il pensait l’affaire classée, la confrontation avec le cerveau du réseau va prendre une toute autre tournure… L’Iran compte près de 85 millions d’habitants. Parmi tous ces hommes et ces femmes, 6,5 millions sont des consommateurs récurrents de crack. Ces 6,5 donnent au film que nous allons évoquer son titre international Just pointant du doigt la violence extrême du trafic de drogue au sein du pays ainsi que les méthodes radicales mises en place pour lutter contre. En Iran, les trafiquants, détenteurs, passeurs et autres intermédiaires sont condamnés à mort. C’est cette loi de Téhéran que le réalisateur Saeed Roustayi va scanner de l’intérieur dans son deuxième long-métrage qui fait d’ores et déjà bien parler de lui. William Friedkin l’a déjà qualifié de » l’un des meilleurs thrillers » qu’il ait » jamais vus » et s’apprête à éclater nos salles françaises du choc qui se dégage de ce polar aux aspérités âpres et radicales. La Loi de Téhéran nous dresse le portrait de deux hommes. L’un est un flic aux méthodes bourrines traquant les têtes pensantes d’un des plus grands réseaux de drogue de la ville. L’autre est l’homme qu’il traque sans relâche depuis des années. Leur confrontation va alors compliquer l’opération de police. Saeed Roustayi met en place dans son thriller un mécanisme terrifiant en brisant instantanément toute forme de manichéisme, se permettant de raconter son histoire du point de vue le plus distant et par conséquent le plus froid possible. A l’opposé complet d’une démarche américaine, le film dépeint un parallèle complexe et existentiel entre deux hommes que tout oppose qui se découvrent au fur et à mesure de l’avancement de l’opération comme les deux faces d’une même pièce. Par sa mise en scène glaçante mettant à l’honneur au cadre la froideur et la misère d’une ville gangrenée par sa consommation de drogue venant impacter absolument tous ses habitants – toutes classes sociales confondues – La Loi de Téhéran plonge ses mains dans les entrailles d’un système aussi noir que blanc, rejetant systématiquement tout questionnement moral au profit d’une efficacité qui reste toujours à prouver. Les policiers sont alors aussi bourrus et expéditifs que leurs pendants criminels, construisant un miroir qui prend alors doucement la forme d’une spirale descendante. Alors en pleine chute libre, nos personnages tentent de se débattre face à un fatum terrifiant auquel ils ne peuvent par définition pas échapper. La Loi de Téhéran est construit comme une tragédie, quitte à souvent laisser de côté l’émotion au profit de joutes verbales spectaculaires. Par sa structure étalée sur plus de deux heures enchaînant les scènes de dialogues et les interventions musclées, le film trouve à de nombreux instants des longueurs significatives, préférant délivrer l’expérience la plus brute possible quitte à parfois ennuyer. Car si son réalisme est la facette qui impressionne le plus dans le long-métrage, c’est parce qu’il n’est jamais monochrome contrairement à sa terne et anxiogène photographie qui habille le film d’un voile noir et orange, proposant à son spectateur un voyage épatant de justesse autant que déstabilisant par sa nature. Tout ne fonctionne alors pas dans cette valse impitoyable entre deux hommes qui se battent littéralement pour leurs vies et pour leurs libertés respectives, donnant à La Loi de Téhéran cet aspect profondément dense qui frappe par sa forme plus proche de l’expérience inédite que du thriller à la forme classique fonctionnant par toute une série de codes fixés par les plus grands réalisateurs des dernières décennies. On saluera donc évidemment l’audace d’une création aussi singulière, bien qu’il en perde tout du long l’attachement émotionnel du spectateur à part peut-être les 20 dernières minutes ainsi que son investissement sur le long terme. Peut-être la structure du film lui en demande-t-il un peu trop ? Par cette confrontation entre les deux figures Payman Maadi et Navid Mohammadzadeh impeccables de composition et d’incarnation, La Loi de Téhéran saisit par sa noirceur et sa fatalité autant qu’il déconcerte par sa narration brisée. Oscillant entre grandes envolées de dialogues, séquences d’interpellations nerveuses et moralement questionnables et instants en sous-régime, le second long-métrage de Saeed Roustayi perturbe et propulse son spectateur bien loin de sa zone de confort en le plongeant dans un Iran miséreux et détruit par ses trafics et par sa politique. Un coup de pied à ses instructions autant qu’un propos moral et politique sur la place de l’Homme dans toute cette anarchie incontrôlable dans laquelle nos personnages se retrouvent bloqués, La Loi de Téhéran est un polar d’une grande force quand il sait s’exprimer et quand il trouve la façon de raconter cette lutte qui détruit Téhéran et ses habitants de l’intérieur. Titre Original METRI SHESH VA NIM Réalisé par Saeed Roustayi Casting Payman Maadi, Navid Mohammadzadeh, Houman Kiai… Genre Action, Drame, Policier Sortie le 28 juillet 2021 Distribué par Wild Bunch Distribution TRÈS BIEN Regardezici: Boyz n the Hood : La loi de la rue ((1991)) Film complet en ligne gratuit Boyz n the Hood : La loi de la rue sur Amazon Prime n’a pas de date de sortie définie, mais il devrait sortir en janvier ou février (1991). Les fans du super-héros Web peuvent s’attendre à une aventure pleine d’action alors qu’il tente de sauver Aim the whale, catch the fish Synopsis En Iran, la sanction pour possession de drogue est la même que l’on ait 30 g ou 50 kg sur soi la peine de mort. Dans ces conditions, les narcotrafiquants n’ont aucun scrupule à jouer gros et la vente de crack a explosé. Bilan 6,5 millions de personnes ont plongé. Au terme d'une traque de plusieurs années, Samad, flic obstiné aux méthodes expéditives, met enfin la main sur le parrain de la drogue Nasser K. Alors qu’il pensait l'affaire classée, la confrontation avec le cerveau du réseau va prendre une toute autre tournure... MON AVIS Après avoir réalisé en 2016 Life and a day, Saeed Roustaee quitte la sphère familiale iranienne pour s’intéresser à un pan de la société à travers le trafic de crack. L’œuvre ouvre directement sur une opération de terrain. Nous découvrons les protagonistes à travers leurs actions. Le fiasco qui s’ensuit et les informations glaner nous permettent de comprendre à quel stade nous arrivons dans l’enquête visant à démanteler ce business prenons donc un train lancé à pleine vitesse. Pour autant, nous ne sommes aucunement gênés par le manque de contextualisation. Les interactions entre les individus et l’avancée de la traque nous permettent rapidement de prendre nos fois les différents éléments assimilés, l’auteur change la trajectoire scénaristique pour s’engouffrer dans le cœur du effet, plus qu’un affrontement entre l’axe du Bien et du Mal, l’œuvre décortique le système pénal iranien. Nous entrons dans l’antre d’une bête étatique appliquant implacablement sa sentence au moindre écart de fait que la détention d’une faible quantité de drogue soit passible de mort impacte fortement la dynamique des personnages et leurs motivations. Bien que nous suivons deux protagonistes spécifiques, le réalisateur inclut dans cette confrontation la trajectoire de différentes personnes tentant de s’extirper de cette spirale infernale. Ces individus permettent de densifier le récit et d’offrir un aperçu plus complet de l’engrenage mis en de ces histoires annexes sont bouleversantes tandis que d’autres flirtent avec l’absurde. Cette diversité de tonalité renforce la volonté de se rapprocher au maximum de la réalité. Il permet de nuancer le propos en montrant différentes mise en structure narrative apporte aussi une dynamique. La multiplication des points de vue permet de faire des ellipses dans l’avancement de l’enquête sans pour autant perdre en cohérence. Au sein du fil rouge, nous pouvons d’ailleurs observer un découpage par chapitre. Dans un premier temps nous avons la traque aux côtés de Samad puis ensuite une confrontation entre ce dernier et Nasser pour finalement se focaliser sur ce présumé baron de la transition entre chacune de ces étapes est fluide. Il n’y a pas d’explicitation de ce mécanisme narratif. L’évolution n’en est que plus influe fortement sur notre empathie. L’auteur joue sur notre code moral pour lentement le remettre en question à travers les actions de ses agissant ainsi, le réalisateur prend à contre-pied les attentes du spectateur. Son apparent thriller urbain cache un drame social terrible. L’action musclée est ainsi remplacée par des confrontations verbales se jouant des rouages administratifs. Nous découvrons comment peut être instrumentalisé la Loi pour arriver à ses moments sont tout autant intenses au vu des enjeux. Survivre à la procédure judiciaire est tout aussi ardu que lors d’une fusillade et le dénouement reste identique mourir ou en ressortir libre. Au final, La loi de Téhéran est une excellente surprise tant il nous amène dans un terrain peu exploité et captivant. Derrière sa façade de polar urbain âpre se cache une analyse sociale déchirante et nous tarde découvre les prochains projets de Saeed Roustaee. À travers son objectif vit et péri l’Iran, difficile d’y rester insensible.
Policier de Saeed Roustayi - Durée 2h14 Avec Payman Maadi, Navid Mohammadzadeh, Parinaz Izadyar En Iran, la sanction pour possession de drogue est la même que l’on ait 30 g ou 50 kg sur soi la peine de mort. Dans ces conditions, les narcotrafiquants n’ont aucun scrupule à jouer gros et la vente de crack a explosé.
Lavente clandestine d’une vidéo amateur montrant une jeune femme, présentée comme une célèbre actrice de séries télévisées, en train de faire l’amour fait grand bruit en Iran depuis
Dans la version internationale de son titre, LA LOI DE TÉHÉRAN se nomme JUST comme les millions d’iraniens officiellement recensés comme accros au crack. Un chiffre qui a explosé ces dernières années, et un phénomène délétère peu connu dans le reste du monde. La première vertu du film de Saeed Roustayi est de montrer de façon très crue les conséquences de cette addiction de masse, et ce avec un regard quasiment documentaire. Dès les premières minutes, le ton est donné via une descente de police surréaliste dans un bidonville improvisé avec des cylindres en béton, et peuplé de dizaines, voire de centaines, de personnes droguées au crack. Celui qui mène cette descente s’appelle Samad Payman Maadi, et c’est un flic têtu qui ne s’embarrasse pas de scrupules pour remplir son objectif faire tomber un baron de la drogue nommé Nasser Navid Mohammadzadeh. Afin d’y parvenir, il doit remonter tous les étages de la filière d’écoulement de la drogue, des consommateurs aux petits dealers en passant par les intermédiaires et leurs mules. Cette enquête musclée occupe la première partie du film, avant une plongée irrespirable dans les cellules surpeuplées des prisons iraniennes, où s’entassent toutes les personnes liées de près où de loin au business du crack à Téhéran. Car en Iran, on ne blague pas du tout avec la drogue la possession de quelques grammes de crack suffit pour risquer la peine de mort, et cette dernière est appliquée massivement. Toute l’intelligence de LA LOI DE TÉHÉRAN consiste à s’intéresser aux ressorts sociaux de cette addiction au crack le réalisateur Saeed Roustayi vient du documentaire, il a réalisé des recherches très importantes sur son sujet avant de tourner son film, et cela se voit. Son thriller est en réalité un polar social explorant la corruption qui gangrène tous les acteurs de la lutte anti-drogue, et qui met en évidence de façon spectaculaire l’inadéquation entre une méthode de lutte répressive aux moyens limités et un phénomène de masse incontrôlable. Roustayi brille aussi par l’écriture de son personnage de parrain de la drogue, nettement plus complexe qu’il ne le serait dans la plupart des films du genre, et surtout par la virtuosité avec laquelle il rappelle l’horreur de la peine de réalité est filmée avec un talent indéniable, tout comme la scène finale, l’un des nombreux tableaux dantesques du film où l’on compte des dizaines de figurants – parfois réellement drogués –, et qu’il sera difficile d’oublier. Après un premier long-métrage réussi sur le thème de la famille, LIFE AND A DAY 2016, Saeed Roustayi prouve cette fois par son sens de la mise en scène qu’il a sa place à la table des jeunes réalisateurs qui comptent. Un statut confirmé par le maître William Friedkin lui-même, qui a déclaré que LA LOI DE TÉHÉRAN est un des meilleurs thrillers jamais vus. Un adoubement d’autant plus symbolique que le FRENCH CONNECTION 1971 de Friedkin est une des influences les plus évidentes du long-métrage de Roustayi. À l’évidence, le réalisateur américain n’est pas le seul à avoir été enthousiasmé, puisqu’après avoir été acclamé à la Mostra de Venise en 2019, LA LOI DE TÉHÉRAN a été primé au Festival international du film de Tokyo, puis à celui du film policier, avant d’être nommé cette année pour le César du meilleur film étranger, catégorie remportée par THE FATHER Florian Zeller, 2020. Et le réalisateur iranien n’a pas fini de faire parler de lui, puisque son prochain long-métrage LEILA'S BROTHERS, 2022 sera en compétition au Festival de Cannes 2022. On y retrouvera d’ailleurs comme dans LIFE AND A DAY et LA LOI DE TÉHÉRAN, Payman Maadi et Navid Mohammadzadeh, deux acteurs d’une intensité dramatique Toutes les vidéos cinéma, films et émissions sont disponibles sur myCANAL Suivez Cinéma Canal+ sur Facebook Twitter Instagram
Aunom de la loi complet gratuit. Voirfilm Au nom de la loi complet vostfr. Au nom de la loi streaming complet hd. Regardez un film en ligne ou regardez les meilleures vidéos HD 1080p gratuites sur votre ordinateur de bureau, ordinateur portable, ordinateur portable, tablette, iPhone, iPad, Mac Pro et plus encore.
Regarder illimité le La Loi de Téhéran VF complet Le La Loi de Téhéran sur NovaFlix Synopsis En Iran, la sanction pour possession de drogue est la même que l’on ait 30 g ou 50 kg sur soi la peine de mort. Dans ces conditions, les narcotrafiquants n’ont aucun scrupule à jouer gros et la vente de crack a explosé. Bilan 6,5 millions de personnes ont plongé. Au terme d’une traque de plusieurs années, Samad, flic obstiné aux méthodes expéditives, met enfin la main sur le parrain de la drogue Nasser K. Alors qu’il pensait l’affaire classée, la confrontation avec le cerveau du réseau va prendre une toute autre tournure… Réalisateur Saeed Roustaee Acteurs Ali Bagheri, Aryan Khodakarami, Asghar Piran Genre Action, Crime, Drame Anneé 2019 Duration 2h 11m Quality HD
ProgrammeTV complet et gratuit de Canal+ Décalé du dimanche 10 juillet 2022. Les programmes télé de toutes les chaines sur 15 jours sont sur Télé-Loisirs.
Bande-annonce du film La Loi de Téhéran — 20 Minutes - Sorties Cinema La Loi de Téhéran en salle le 28 juillet 2021 est réalisé par Saeed Roustayi. La durée du film est de 134 y retrouve le casting suivant Payman Maadi, Navid Mohammadzadeh, Hooman Kiaie, Parinaz Izadyar, Farhad Aslani, Maziar Seyedi, Ali c'est quoi l'histoire ?En Iran, la sanction pour possession de drogue est la même que l'on ait 30 g ou 50 kg sur soi la peine de mort. Dans ces conditions, les narcotrafiquants n'ont aucun scrupule à jouer gros et la vente de crack a explosé. Bilan 6,5 millions de personnes ont plongé. Au terme d'une traque de plusieurs années, Samad, flic obstiné aux méthodes expéditives, met enfin la main sur le parrain de la drogue Nasser K. Alors qu'il pensait l'affaire classée, la confrontation avec le cerveau du réseau va prendre une toute autre tournure...Découvrez les films au cinéma en ce momentDécouvrez les sorties cinéma de la semaineDécouvrez les prochaines sorties cinémaDécouvrez notre rubrique cinéma Fiche d'identitéSortie 28 juillet 2021Genres Action, Drame, PolicierTitre original Metri Shesh Va NimDurée du film 134 minutesDe Saeed RoustayiAvec Payman Maadi, Navid Mohammadzadeh, Hooman Kiaie, Parinaz Izadyar, Farhad Aslani, Maziar Seyedi, Ali Bagheri
Bandeannonce du film La Loi de Téhéran — 20 Minutes - Sorties Cinema La Loi de Téhéran en salle le 28 juillet 2021 est réalisé par Saeed Roustayi. La durée du film est de 134
Vous aimez ce film, notez le !La note moyenne actuelle est de 15,00 pour 1 votes En Iran, la sanction pour possession de drogue est la même que l’on ait 30 g ou 50 kg sur soi la peine de mort. Dans ces conditions, les narcotrafiquants n’ont aucun scrupule à jouer gros et la vente de crack a explosé. Bilan 6,5 millions de personnes ont plongé. Au terme d'une traque de plusieurs années, Samad, flic obstiné aux méthodes expéditives, met enfin la main sur le parrain de la drogue Nasser K. Alors qu’il pensait l'affaire classée, la confrontation avec le cerveau du réseau va prendre une toute autre tournure... Titre original Metri Shesh Va Nim Just mise à jour le
Téhéran(en persan : تهران, Tehrān), prononcé tʰehˈɾɒn (), est la capitale de l'Iran.Située au nord du pays, au pied des monts Alborz, la ville donne son nom à la province dont elle est également la capitale. Téhéran a vu sa population multipliée par quarante depuis qu'elle est devenue la capitale suite au changement de dynastie de 1786, soit 8 429 807 habitants en 2010
Categories Action Animation Aventure Comédie Drame Erotique Crime Familial Fantastique Guerre Horreur Histoire Mystère Thriller Science-Fiction Romance Documentaire Musique Téléfilm Films par année 2021 2020 2019 2018 2017 2016 2015 2014 2013 2012 2011 2010 2009
WZ7Qq.