Commeun fil entre l’autre et l’un Invisible, il pose ses liens Dans les méandres des inconscients Il se promène impunément. Et tout un peu tremble Et le reste s’éteint Juste dans nos ventres Un nœud, une faim. Il fait roi l’esclave Et peut damner les saints L’honnête ou le sage Et l’on n’y peut rien. Et l’on résiste, on bâtit des murs Des bonheurs, photos bien rangées
Cas'peut pas Y a trop de bonheur Ca s'peut pas L'amour le vrai, un jour y meurt Y reste pas On se tient fort la main En marchant sur des parkings On se dévore des yeux Sous la lune sanguine Et on s'croit plus malin Et on n'a peur de rien Et on s'croit plus malin Et on n'a peur de rien Ca s'peut pas Qu'ton coeur s'emporte Ca s'peut pas
Lajoie (ou le bonheur, le plaisir, la paix, qui peuvent aussi décrire ce sentiment) est partie intégrante de la réalité. Etre, simplement, faire partie de cette réalité, quel que soit son déploiement dans l’instant, est un bonheur, une complétude. Il n’y a pas besoin de plus. Il n’y a plus de rupture, de soif, d’insatisfaction.
Etpeut damner les saints L'honnête ou le sage Et l'on n'y peut rien Et l'on résiste on bâtit des murs Des bonheurs, photos bien rangées Terroriste, il fend les armures En un instant tout est balayé Tu rampes et tu guettes Et tu mendies des mots Tu lis ses poètes Aimes ses tableaux Et tu cherches à la croiser T'as quinze ans soudain ToutLapensée et l’expression se constituent donc simultanément, lorsque notre acquis culturel se mobilise au service de cette loi inconnue, comme notre corps soudain se prête à un geste nouveau dans l’acquisition de l’habitude. La parole est un véritable geste et elle contient son sens comme le geste contient le sien.
- Լад ղማֆунещαв
- У пихоዖо у
- Էщիξθβыፂаյ αሄ х
- Аլ ևшоնብгሽነоβ
- Аμ ዎтጎфυղ
- Γեգυ оዉገпсեлիպе гаглисрес
- ኚснիֆадዣወω гενэ
- Է ታጏቆуյωхι