INTERVIEWInvité samedi de Mathieu Charrier, sur Europe 1, dans "CLAP !" le comédien Gérard Lanvin, bientôt à l'affiche du nouveau film de Christophe Barratier, "Envole moi", a évoqué les principaux films qui ont marqué sa vie. Celui qui partage l'écran avec Victor Belmondo cite notamment "Le Parrain", "César et Rosalie", et confie son aversion pour la filmographie de Godard. Votre premier souvenir de cinéma ?c'est Fra Diavolo, avec Laurel et Hardy. J'ai vu ça avec mon père qui m'avait amené sur les Champs-Élysées. J'ai quelques images en tête, dont une scène où Hardy faisait un truc avec ses mains et ses doigts, et nous montrait la manière de faire bouger les doigts d'une certaine façon. Ça m'a toujours marqué et après, je ne faisais que ça avec mes qu'un moment, c'est le fait de rentrer dans un cinéma et de voir ce couple de comiques qui m'a marqué. C'était la première fois que je voyais un film sur un écran géant. Déjà à l'époque, il y avait les cinémas de quartier, mais là, c'était aux Champs-Élysées... C'était un spectacle énorme pour meilleur souvenir en salle ? Quand j'ai vu Le Parrain, ça m'a tué... J'ai pris une leçon. Quand j'ai vu Marlon Brando dans ce costard... J'ai kiffé. De toute façon, tous les films sur cette époque m'ont toujours marqué. Le film dans lequel vous aimeriez vivre ?César et Rosalie, de Claude Sautet. Pour moi, c'est un film de référence. J'ai trouvé Yves Montand magique dedans. Il m'a donné une leçon. Et puis il y a Sami Frey et Romy Schneider qui était un idéal féminin à l'époque. En général, les films de Sautet sont des films que je revois facilement parce qu'ils nous parlent de nous. Et bien que les époques aient changé, les tempéraments restent les mêmes. Le chef-d'œuvre que vous détestez ?Je déteste tous les films un peu intello, un peu casse-c***. Ils ne m'emmènent pas loin. Par exemple, on m'avait fait toute une histoire de La Vie d'Adèle, d'Abdellatif Kechiche... Bon, faut voir plus belle scène de cinéma ? C'est dans L'affaire Thomas Crown, quand Faye Dunaway et Steve McQueen s'embrassent après la partie d'échecs. De toute façon, je suis un inconditionnel de ces deux acteurs. Ce baiser, c'est une scène très érotique. Le film qui vous a fait le plus rire ?Les Bronzés sont des films de référence pour moi. Le premier, il reste. Les caractères, les acteurs qui ont tous une identité à jouer qui est à la limite de l'absurde... C'est très drôle et très bien film qui vous fait le plus pleurer ?Je pleure facilement quand je vois des trucs émouvants au cinéma. Mais le dernier film où j'ai pleuré, c'est Envole-moi. Quand je l'ai vu fini, tout seul dans une salle Pathé, j'ai été très ému. Votre séance de cinéma la plus dingue?En 1984-1985, quand je suis allé voir en salle le film Marche à l'ombre, de Michel Blanc, et que j'ai vu à quel point les gens réagissaient, étaient heureux, et la queue dehors pour le film Les Spécialistes. C'était une année particulière, dans la mesure où j'étais dans les deux films et qu'ils ont fait des cartons film que vous conseilleriez à votre meilleur ami ?Je pense que ça serait intéressant qu'il regarde Voyage au bout de l'enfer, de Cimino, que ce soit pour l'écriture, pour la mise en scène, pour l'interprétation. Il y a tout là-dedans. Ce film reste une référence pour moi. Et celui que vous conseilleriez à votre pire ennemi ?Je lui conseillerais un film de Godard ou un truc comme ça. Quelque chose d'un peu casse-c*** qui ne m'intéresse pas du bande originale qui a le plus marqué votre vie?C'est la grande symphonie dans Apocalypse Now, avec la Chevauchée des Walkyries de Wagner quand les hélicoptères arrivent. Cette image, avec cette musique, c'est impressionnant. Quand tu te le prends en cinémascope, tu l'as dans la tête et ça reste.Aucôté de Jérémie Rénier, qui incarne le héros, Victor Belmondo est d’une très grande justesse dans « Albatros » de Xavier Beauvois, en salles mercredi, grand film réaliste, profond
Lesfilms a l'affiche de la locale. Plus de 10 000 fiches de films sont disponibles aujourd'hui
Envolemoi, de Christophe Barratier. Après Les Choristes et La nouvelle guerre des boutons, Christophe Barratier revient avec une comédie dramatique remettant les choses importantes, au centre de la vie.C’est l’histoire d’un jeune garçon privilégié et d’un enfant qui s’accroche à la vie. L’un a 25 ans et passe son temps en boites de nuit, sans but précis.
Lefilm “Ni juge, ni soumise” ne sera pas retiré de sitôt de l’affiche. On sait que l’une de ses protagonistes a intenté une action en référé devant le tribunal de première instance de Bruxelles pour faire interdire la projection du long métrage. Requête en dessaisissement.
Enbanlieue d’Athènes, pendant le tournage de « Dodo », Ahmad Kontar, 25 ans, observe le plateau. Ahmad Kontar a quitté sa Syrie natale il y a six ans. Depuis, son destin s’est construitLeschoses de la vie. Drame 1h28. 1 a aimé . Sortie : 08 mars 1970 . De Claude Sautet avec Michel Piccoli, Romy Schneider, Léa Massari. Au volant de sa voiture, Pierre, architecte d'une BenoîtPoelvoorde et Grégoire Ludig du Palmashow partagent l'affiche de la comédie de Quentin Dupieux, Au poste, diffusé ce soir sur Arte. Nous les avions soumis à notre interview interrogatoire.
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