UnBlog pour réfléchir aux arguments souvent entendus contre le végétarisme Pour celles et ceux qui seraient tentés Retour. Cliquer sur l'image. Accueil. Et si on réagissait ? Jeudi Vert en 3
En Suisse, 71 millions d’animaux sont abattus chaque année. Alors que nous pourrions vivre avec un régime purement végétal, sans lait, sans fromage et sans œufs. Pourquoi élever des animaux de rente? Et avons-nous le droit de les tuer? Que pensez-vous des personnes qui mangent de la viande? Angela Martin, spécialiste en éthique animale à l’Université de Bâle, végane © zVg Je ne les juge pas. Quand j’étais enfant, j’en mangeais moi aussi. Je suis devenue végétarienne à l’âge de 13 ans, quand j’ai découvert comment les animaux de ferme étaient élevés. Plus tard, j’ai compris qu’un régime végétarien ne suffisait pas à éviter la souffrance animale. En mangeant un œuf, j’acceptais tacitement qu’en Suisse, des millions de poussins mâles soient déchiquetés vivants ou gazés. Je suis donc passée au véganisme. Génétiquement, l’animal est similaire, voir supérieur à l’humain dans certains domaines. Est-il légitime d’élever, d’utiliser et de tuer des animaux? Nous avons le droit d’élever des animaux de rente, puisque nous avons domestiqué des espèces à l’origine sauvages. Nous avons une responsabilité et des obligations envers ces animaux qui sont devenus une composante de notre société. Leur utilisation peut se justifier sur le plan éthique tant qu’elle n’engendre pas de souffrances. Mais nous n’avons pas le droit de les tuer. Non, sauf cas exceptionnels, par exemple dans les régions comme le Sahel, où une alimentation sans viande n’est pas possible. Mais sous nos latitudes, il n’y a pas besoin de viande pour survivre. Et surtout pas des masses actuellement consommées. En Suisse, 71 millions d’animaux sont abattus chaque année. Ce sont 197 000 par jour et 8200 par heure. Incroyable … Oui, c’est difficile à imaginer. Qu’est-ce qui nous pousse à manger de la viande? C’est une question d’éducation, d’habitudes alimentaires transmises par les parents. De plus, la viande reste un symbole de statut social. Alors qu’il existe aujourd’hui des aliments véganes excellents. Les choses ont beaucoup évolué. Comment expliquez-vous la prédilection des humains pour tout ce qui a le goût de viande? Nous ignorons délibérément le contexte. Beaucoup pensent que la vache dont ils mangent la viande a passé de longues et heureuses années à l’alpage. Alors que les vaches laitières vivent rarement plus de cinq ans. Pour une performance maximale, elles sont nourries avec des aliments concentrés. Mais leur rendement en lait diminue rapidement, elles s’épuisent et deviennent vulnérables aux maladies. Une fois qu’elles ne sont plus rentables, elles sont abattues. La plupart des veaux ont une durée de vie de 160 jours au maximum, ce qui correspond à 2% de leur espérance de vie normale. Mais la population n’est en généralement pas consciente. Est-ce une question d’information? Les personnes qui suivent un régime végétarien ou végane sont souvent plus instruites que la moyenne. Il semble que ces personnes soient mieux informées, et plus critiques. C’est crucial. Elles reconnaissent la souffrance liée à la production d’une saucisse, et l’impact environnemental de la consommation de viande. Alors que d’autres ne veulent rien savoir, et préfèrent fermer les yeux sur cette réalité. Mais le problème n’est pas seulement individuel. La politique ne fait rien pour changer les choses. En juin dernier, le Conseil des états a ainsi refusé de rendre obligatoire la surveillance vidéo des abattoirs. Le risque de cancer et de problèmes cardiovasculaires serait moins élevé chez les personnes véganes, selon certaines études. Est-ce une raison pour vous d’éviter les produits d’origine animale? Non. Si je mange des aliments véganes, c’est par respect des animaux. D’ailleurs, je ne pense pas que mon régime soit plus beaucoup sain que celui des personnes qui consomment peu de viande. Mais je trouve important de réfléchir à sa propre alimentation. Si elle réduit la durée de vie ou le bien-être de la personne, il y a manifestement un problème. Manger végane, un plaisir ou un renoncement? Clairement un plaisir. Par le passé, il était plus difficile de se nourrir sans produits animaliers, mais aujourd’hui, les magasins proposent de nombreux produits de qualité et les restaurants offrent souvent des options véganes. Et je fabrique certains produits moi-même. Parlons du climat. La digestion des ruminants est responsable de 14% des gaz à effet de serre. Qu’en pensez-vous? C’est évidemment une raison supplémentaire de se passer de viande. Que proposez-vous? Pour ceux qui ne veulent pas renoncer à la viande, il existe des substituts à base de plantes. C’est une alternative écologique, avec une gamme de produits en expansion. À mon sens, tous les aliments – y compris les substituts de viande – devraient porter un label climatique. Un tel label renseignerait sur la consommation de CO2 lors de la production et du transport. Passons au coronavirus. Selon l’état actuel des connaissances, plus de la moitié des nouvelles maladies infectieuses seraient d’origine animale. Pensez-vous que les personnes carnivores portent une responsabilité à l’égard des pandémies? Oui. Sur certains marchés humides», des animaux qui ne se rencontreraient jamais dans l’espace naturel sont entassés dans de minuscules cages les uns à côté des autres. Ces conditions favorisent la transmission de virus d’une espèce à l’autre, y compris aux êtres humains. Mais les nouvelles maladies infectieuses sont aussi dues à la destruction des habitats de la faune sauvage. Les animaux sauvages sont davantage en contact avec les animaux de rente mais aussi les humains, qui se trouvent ainsi confrontés à des agents pathogènes auxquels leur système immunitaire n’est pas préparé. Nous devons donc réduire notre consommation de viande. Comment motiver les gens à faire le pas? C’est difficile. En principe, les habitudes et les préférences individuelles ne regardent personne. C’est une affaire personnelle. Mais le débat sur la viande a une dimension qui dépasse la sphère privée. Lorsque nous décidons de manger de la viande, nous décidons de la vie et de la mort des animaux, de la souffrance animale, du renforcement du changement climatique. Ce dernier point, en particulier, est lourd de conséquences. Notre consommation de viande se répercute sur la qualité de vie des générations futures. Il faudrait que les gens réfléchissent au-delà de leur intérêt immédiat. Effectivement. L’une des pistes est certainement l’information du public, qui peut conduire à des changements de comportement. Mais il est peut-être plus efficace de changer les incitations dans notre vie quotidienne. Par exemple, les menus avec de la viande restent actuellement l’option standard dans la plupart des cantines. Mais si le plat végane ou végétarien figure en tête du menu, et qu’il est présenté de manière attrayante, cela a un effet sur la demande. La forte consommation de viande reflète-t-elle l’aliénation entre l’homme et l’animal? En ville, nous n’avons plus aucune idée de la vie animale, ou des besoins des animaux… Absolument. Nous devons améliorer la détention des animaux d’élevage, et reconnaître leur droit à la vie, tout en respectant et en rétablissant les habitats des animaux sauvages, dans la mesure du possible. Il existe un courant d’éthique animale qui demande des droits civiques pour les animaux domestiques, et le respect des habitats des espèces sauvages comme nations souveraines. Les êtres humains n’auraient pas accès à ces territoires, ou alors ils devraient réparer les dommages qu’ils causent. Pour l’instant, c’est une utopie, mais elle donne des pistes pour imaginer une coexistence future entre les animaux et les humains. Y a-t-il des revendications moins utopiques? Existe-t-il une forme d’élevage que vous cautionnez sur le plan éthique? Les refuges ou les sanctuaires pour animaux de rente sont un bon exemple. Ils accueillent des animaux en quête de protection poules pondeuses aux performances insuffisantes, truies trop âgées, veaux échappés des véhicules de transport… Et ce, généralement jusqu’à la mort naturelle de l’animal. Soutenez-vous la revendication politique d’une interdiction totale de la détention d’animaux de rente? Le problème n’est pas forcément la détention des animaux, mais les pratiques d’élevage et la souffrance animale causée. Il est probablement irréaliste, à l’heure actuelle, de vouloir interdire toute détention d’animaux. Pour changer le comportement humain, il faut miser sur les incitations plutôt que sur les interdictions. Il faut repenser le rapport de l’être humain à l’animal. L’initiative Non à l’élevage intensif en Suisse» est un pas dans la bonne direction, et je la soutiens pleinement. Martin Ott, agriculteur, directeur de l’école suisse d’agriculture biodynamique, ami des vaches», mange rarement de la viande. zVg Herr Ott, was denken Sie über Menschen, die sich vegan ernähren? Das sind interessante Menschen. Sie beschäftigen sich mit Dingen, die mir auch wichtig sind. Que pensez-vous des personnes véganes? Ce sont des personnes intéressantes, sensibles à des choses qui comptent beaucoup pour moi. Vous mangez de la viande, pourquoi? Et si vous posiez la question à un habitant de la Mongolie, qui vit dans la steppe herbeuse où il ne peut rien cultiver? Il est vrai qu’il existe des peuples qui ne consomment pas de viande, et qui se distinguent par leur caractère pacifique. Mais vous restez convaincu de votre propre consommation de viande? Oui. Cela fait 40 ans que je suis agriculteur. Tant que mon corps me dit qu’il est bon pour moi de manger de la viande, je continue. On vous dit ami des vaches». Vous mangez donc des animaux dont vous êtes proche. Je vois le rapport entre les vaches et les humains comme une coopération. Au pâturage, le bétail broute l’herbe, la digère pendant trois jours et fertilise le sol par ses excréments. C’est le rôle des bêtes depuis des millions d’années, créant ainsi l’humus de notre planète. En domestiquant le bétail, nous avons endossé une responsabilité envers les animaux. En contrepartie de leur fonction de création et de régénération des sols, nous devons veiller à leur bien-être. Si le paysan fait correctement son travail d’élevage, je pense qu’il est en droit d’utiliser les produits animaliers, donc le lait et la viande. Nous pouvons tout à fait survivre sans viande. De tout temps, le bétail a été une proie. Environ trois quarts des jeunes animaux étaient dévorés par des prédateurs. Ce mécanisme est juste et important pour réguler l’équilibre entre la superficie et le nombre de brouteurs. Or il n’y a pratiquement plus de grands prédateurs. C’est donc à l’homme d’intervenir et de décimer les animaux jusqu’à un niveau écologiquement tolérable, c’est-à-dire jusqu’au nombre de têtes de bétail qui correspond à la surface disponible. Pour que cela fonctionne, les animaux doivent être élevés conformément à leur nature. Que voulez-vous dire par conformément à leur nature»? Garantir aux animaux des conditions de vie qui correspondent à leur nature. Je dois fournir aux animaux le contexte écologique qui leur est adapté. Le concept de conformité à la nature» est relativement nouveau. Il reste beaucoup de recherche à faire, pour que la notion s’établisse. À l’heure actuelle, le nombre d’animaux élevés conformément à leur nature est dérisoire. C’est vrai. L’évolution n’a pas prévu d’enfermer des milliers de porcs dans une étable en béton, de les laisser désœuvrés, de les torturer et enfin de les abattre dans une gigantesque usine à tuer. Je ne parle pas de ce genre d’élevage. Peut-on tuer un animal conformément à sa nature? Peut-être. Les peuples autochtones ont des pratiques intéressantes. Et la nature nous fournit des indices à cet égard. Quand un tigre saisit une antilope à la gorge, c’est l’antilope qui décide à quel moment elle abandonne et se détend pour mourir sereinement. Elle prend conscience de son rôle dans le cycle de la vie, et accepte son existence comme faisant partie d’un tout. On peut décrire ce comportement comme un retour conscient à la nature, comme un schéma lié au subconscient collectif des animaux et de la Terre. Tandis que nous, les humains, sommes terrifiés par la perspective de l’extinction de notre ego. Vous dites que la vache meurt plus ou moins volontairement? Non, pas volontairement. La chasse est une sorte de jeu, un jeu certes dramatique, mais dont l’issue est ouverte. La proie fera tout pour s’échapper, tout en participant à déterminer sa fin. Le prédateur et la proie communiquent. C’est peut-être la clé pour comprendre comment abattre un animal conformément à sa nature. L’abattage au pâturage par pistolet à tige, qui est la meilleure solution actuellement connue, est préférable à la machine à tuer qu’est l’abattoir, mais n’est pas encore une solution optimale. Dans votre ferme, il y a également des animaux domestiques. Seriez-vous d’accord de les manger? Je n’ai pas de vraie réponse à cette question. Je n’apprécierais certainement pas de manger mon chien. Peut-être qu’un jour nous aurons le même rapport avec nos animaux de rente, et que nous arrêterons de les consommer. En tout cas, ma fille a toujours voulu connaître le nom de l’animal dont elle mangeait la viande, dès son plus jeune âge. Pour pouvoir remercier l’animal en question. Mangeons-nous trop de viande? Oui, environ sept fois trop. La plupart des animaux sont élevés dans des conditions totalement absurdes. Les poulets de chair doivent atteindre leur poids d’abattage en seulement trente jours, et ont à peine le temps de voir pousser leurs plumes. Ils sont réduits à des boules de protéines qui mangent et qui dorment. Un repas de viande par semaine est amplement suffisant. Mais il ne faut pas avoir honte de manger de la viande, pour autant que le contexte soit correct. À votre avis, pourquoi la moitié environ des personnes végétariennes ou véganes ont-elles un haut niveau de formation? Ce sont des gens qui réfléchissent, et qui agissent de manière sensée. 14% des émissions nuisibles au climat proviennent des animaux. Si nous voulons sauver notre planète, il faut arrêter de manger de la viande, n’est-ce pas? Ce serait une solution simpliste et populiste. Vraiment? Une vache correctement élevée peut stocker plus de CO2 que le méthane qu’elle émet tout au long de sa vie. Plus la végétation d’un pâturage est dense, plus les plantes peuvent apporter de carbone dans le sol. Or la densité des plantes dépend de la présence des vaches qui broutent et fertilisent les sols. C’est de la compensation active de CO2. Si on se borne à mesurer ce qui entre et ce qui sort de la vache, on croit identifier le coupable qui dégrade le climat. Je dois dire que je connais des coupables autrement plus nuisibles. 70% de la production mondiale de soja sert à nourrir le bétail, alors que des millions de personnes meurent de faim. Votre commentaire? C’est une catastrophe, contre laquelle je lutte depuis 40 ans. Les animaux ne dépendent des fourrages de soja que s’il n’y a pas de pâturages pour eux. C’est donc du bétail surnuméraire. Intervenir en créant un équilibre entre le nombre d’animaux et les pâturages disponibles est justement un des objectifs de l’agriculture conforme à la nature. Comment pouvons-nous, en tant que consommatrices et consommateurs, soutenir ces objectifs? Arrêter d’acheter de la viande d’élevage industriel, et préférer les produits issus d’un élevage conforme à la nature, portant le label Demeter ou au moins biologique. Parlons du Covid-19. Quel lien, à votre avis, entre les pandémies et notre consommation de viande? Le lien me paraît personnellement évident. Il est scientifiquement prouvé que les animaux sauvages détenus et élevés dans des conditions cruelles peuvent transmettre des virus à leurs bourreaux. La même chose peut théoriquement se produire avec les animaux de rente. Dans une nouvelle exploitation porcine, les premiers animaux sont retirés de la matrice de leur mère dans des conditions stériles, pour éviter toute contamination de germes. Pour entrer dans l’étable, le personnel portera une combinaison de protection. La ferme devient un espace aseptique, les animaux ne développent aucune immunité. Si une infection survient malgré toute les précautions, elle se propage à la vitesse éclair et fait des ravages parmi les animaux. Ces élevages risquent de nous poser des problèmes majeurs à l’avenir. Inquiétant. Comment imaginez-vous la relation idéale entre l’homme et l’animal? Il faut améliorer le rapport entre les humains et les animaux. Étant à la tête d’une école d’agriculture, c’est ma mission principale. Dans mes cours, j’analyse la situation actuelle comme une crise relationnelle. Ce n’est pas une crise intellectuelle, car nous savons très bien ce que nous faisons. La clé d’une nouvelle agriculture, c’est un nouveau rapport aux animaux, aux plantes et à la nature, une attitude respectueuse et ouverte. Comment y parvenir ? En me mettant au même niveau que les animaux. Je dois engager un dialogue avec eux. Aujourd’hui, il est possible de communiquer avec un cheval, une vache ou un porc par le langage corporel. Une fois que vous avez fait cette expérience, vous entrez dans un nouveau monde. J’ai vu des gens pleurer, qui vivaient pour la première fois cette forme d’échange. Le langage commun crée un lien. Je considère cela comme le début d’un nouveau rapport entre les animaux et les humains. Une relation qui ne naît pas dans la tête, mais dans le cœur. Auteur Christian Schmidt, Journaliste, rédacteur pour des organisations à but non lucratif et auteur de livres. Indépendant par conviction. Diverses récompenses, dont le prix du journalisme de Zurich.

Déjàparce que je le suis, et aussi parce qu'y'a pas de pour/contre le végétarianisme, c'est juste un style d'alimentation personnel qu'on choisit d'adopter ou non, ça revient à demander "pour ou contre la choucroute" à mes yeux) Ji-doo Visiteur #66. 19/10/2012 11:43 . schtroumpfette a écrit : J'ai bien conscience que ça se passe pas toujours dans les conditions idéales, mais je fais

Pour - l'avis d'un végétarianLa végétarisme est un moyen de la vie très bon. Il aide contre l'abattage des animaux pour nos besoins égoïstes. Si tout le monde ne mange pas d'animaux, le monde serait un meilleur endroit avec des animaux marchent librement comme ils se seraitsans nous, mais ils sont dans un cage dans une grange ou dans un petit champ sur une ferme. Les légumes et plus bon pour toi de la viande qui est plein de graisse et je préfère le goût des légumes à la viande. S'il vous plait devenir végétarien, ensemble, nous pouvons arrêter la - mon avisPas manger de la viande n'est pas intelligent. Il est naturel pour nous de manger d'autres animaux, c'est la chain ailmentaire et de tout autre espèce qui mangent d'autres animaux sont capables de le faire sans beaucoup d'entre eux de devenir végétariens. Les légumes ne répondent pas à notre besoin, notre besoin pour une régime equilibrée. Comment peut-on résister à McDonalds? On ne vit qu'une fois et un BigMac est plus bon de manquer. Sauvez les animaux? La seule chose que vous économiserez est un peu d'argent parce que les animaux parce que les animaux seront abattus dans les mêmes numéros que avant si on devient végétarien, il ne fait aucune différence si on doit manger de la viande et on aimerais la goût. Etla fin de la scène est terrible. Nous sommes donc le 18 juillet 1986, autour d’une table de jardin à Cherbourg. Quelqu’un apporte les côtes de porc du barbecue, l’un des plus grands moments de défense du végétarisme au cinéma commence – et évidemment, il y a beaucoup de choses à en dire. « Voilà les côtes de porc! – Mais qu’est-ce qui t’a pris de décider d’écrire sur un sujet aussi tabou que la polygamie? – Ben quoi?! J’aime ça sortir des sentiers battus! Pour commencer, ce texte ne se veut ni une apologie, ni une étude approfondie sur les méandres et la psychologie des polygames… C’est simplement un ramassis de commentaires et de recherches pour nous divertir. Aussi, beaucoup de ce que je vais écrire dans les prochaines lignes provient directement de la bouche de personnes polygames dans mon entourage. Vu la nature du sujet et la sensibilité de la société envers cette pratique, aucun nom et aucune annotation ne seront cités. Donc, tout a commencé avec un documentaire court écouté sur Netflix sur la polygamie et la propension naturelle de l’animal humain à trouver plusieurs partenaires sexuels pour la survie de la race… et bien sûr pour le plaisir mens pas, tu veux pas un 7ème kid, tu veux juste trouver un autre partenaire pour assouvir tes besoins primaires!. Et ensuite, un petit message sur les réseaux sociaux à la recherche d’amis polygames prêts à s’ouvrir sur le sujet. Première constatation ce sont les femmes qui ont plus d’ovaires que de gars ont de couilles! Sur 16 personnes m’ayant écrit, 13 sont des femmes. Deuxième constatation même si je savais que certaines de ces 16 personnes vivaient ou avaient déjà vécu dans la polygamie, pour 13 de ces 16, encore une fois, je n’en avais pas la moindre idée! Troisième constatation il y a deux sortes de polygames j’sais qu’y en a plus polyamour, pansexualité, etc…. Il y a ceux qui le sont en pleine connaissance de cause de leurs partenaires et d’autres, qui la vivent juste avec elles-mêmes. Je ne juge aucunement, simple constat. Bon, pourquoi es-tu polygame?» a toujours été ma première question, et la réponse la plus hot, crue et intéressante fut Pour la recherche du pénis parfait!». Cette personne m’a surpris par sa réponse directe… c’est la recherche du plaisir qui la pousse à être polygame. Elle a beau avoir un chum ou pas, ce qui importe, c’est de trouver le bon engin pour la starter et tu sais quoi? Je respecte ça, d’une manière perverse et purement sexuelle, la recherche du plaisir est une nécessité… alors si tu trouves pas, pourquoi arrêter?! j’entends déjà les défenseurs de la monogamie monter sur leurs chevaux de bataille pour sauvegarder la sacro-sainteté du partenaire unique au nom de Dieu, de la société et tutti quanti… Encore une fois, j’prends pas de côté, mais on est en 2019 dude, ouvre ton esprit et laisse vivre! Pour plusieurs, la polygamie remplit un vide inassouvi dans leur relation courante comme disons la bisexualité, ou encore remplir un besoin sapiophile qu’il ou elle ne retrouve pas dans son partenaire actuel malgré toutes les autres qualités qu’il/elle peut avoir. Une m’a dit Il est beau, il baise comme un Dieu, mais il est aussi intelligent qu’un chien qui court après sa propre queue». Une autre C’est un père magnifique, j’ai une famille magnifique, on s’entend encore super bien, mais il nous manque les deux quelque chose, alors j’ai un chum on-the-side et lui une blonde. Il ne connaît pas le mien, je connais pas la sienne, ça n’interfère aucunement dans notre dynamique familiale et tant que ça reste comme ça, c’est De toutes les personnes que j’ai rencontrées, toutes avaient une relation positive avec le polyamour… sauf une personne… et cette personne était un homme un autre tabou de brisé. Ben voyons, quel homme ne sera pas heureux de pouvoir baiser avec n’importe quelle autre personne, encore mieux dans le cas de cet homme-ci, avoir une blonde qui veut juste coucher avec d’autres femmes et qui les ramène dans leur lit… à 3?! Ben oui, c’est ben le fun au début, des trips à 3, chaque semaine une fille différente avec nous, toujours la luxure, le plaisir… mais toujours te demander si ta blonde est vraiment heureuse avec toi, si elle ne fait pas juste chercher ce qu’elle n’a pas avec toi, à toujours sortir, vouloir se faire vouloir, vouloir plaire à autrui, à se demander pourquoi j’pas assez… C’est le fun au début, mais dans l’excès, c’est invivable.» Bon… ben là, on fait quoi avec tout ça?! Des femmes plus polygames que les hommes, des hommes qui se plaignent d’avoir plusieurs femmes, vous ne vous y attendiez pas, avouez-le! Moi non plus pour être honnête, est-ce que ça a changé ma vue sur la polygamie? Ben vous ne savez même pas de quel côté je suis, anyways! Je vous laisse débattre! P. 1 Est ce que les autres animaux souffre, et la réponse la plus honete me semble quand même etre: "y a de grande chance". Après pour en discuté de maniere tout a fait rationelle c'est un peut compliqué, étant donner notre peut de connaissance sur la nature des sentiments (pour leurs causes biologique/chimique c'est un peut plus simple). Dans la vie, on se retrouve toujours face à des choix semblables à ceux d'un drame cornélien. Et comme je fais partie de ces personnes qui... Dans la vie, on se retrouve toujours face à des choix semblables à ceux d’un drame cornélien. Et comme je fais partie de ces personnes qui ont beaucoup de mal à s’arrêter sur une décision, j’ai réussi à me décider de vous faire partager les 10 points qui me donnent envie d’une PS Vita et les 10 autres points qui me pousseraient à patienter encore un peu. Ici, pas de hiérarchisation des arguments plus forts il s’agit simplement de vous montrer que la décision n’est pas facile à prendre… * J’ai vraiment envie de m’offrir la PS Vita parce que… 1. Les graphismes m’ont tout de suite bluffé ! 2. Il y a au moins trois jeux qui me plaisent Gravity Rush, LittleBigPlanet Vita, et l’incontournable Wipout 2048. 3. L’écran tactile est beaucoup plus réactif que sur mon iPhone il y de fortes chances pour qu’il soit précis lorsqu’il est intégré dans un gameplay. 4. Les jeux dématérialisés coûteront 10 % moins cher. 5. Le Cross Play me permettra de jouer avec mes amis lorsqu’ils seront sur leur PlayStation 3. 6. Je suis vraiment curieuse de voir comment la réalité augmentée va être utilisée, tout en sachant que la vidéo de LittleBigPlanet Vita m’a déjà convaincue ! 7. J’ai toujours la possibilité de mettre ma musique dessus. 8. Elle a un appareil photo qui réalise des clichés d’une qualité suffisamment propre pour m’amuser. 9. Le système Near permet de découvrir plus de choses sur les gens qu’on rencontre que le Street Pass de la 3DS. 10. Les jeux minis sont tout aussi amusants que sur iPhone, et apportent une dimension casual. * J’hésite vraiment à m’offrir la PS Vita parce que… 1. Quitte à avoir une console capable de reproduire une expérience de jeu “de salon”, autant y jouer sur un grand écran depuis un canapé… 2. Le priiiiix ! 3. La courte durée de l’autonomie de la batterie. 4. Il n’y a que trois jeux qui m’intéressent réellement pour l’instant, et LittleBigPlanet Kart en attente de confirmation. 5. Sa grande taille. 6. Le gameplay avec le tactile ne m’a pas encore vraiment tapé dans l’oeil pour ne pas dire “rebuté”. 7. Je trouve que le stick droit est bien trop proche de la touche croix et qu’il traduit un petit soucis d’ergonomie. 8. Elle semble très fragile, j’ai peur de la casser… 9. J’ai envie d’attendre une éventuelle baisse de prix, comme pour la 3DS. 10. J’ai peur qu’une nouvelle version de la console débarque d’ici deux ans… Comme vous pouvez le constater, de mon point de vue, le choix n’est pas évident. Mais je parie que vous connaissez le même dilemme. C’est pour cela que si vous avez des commentaires à rajouter dans l’une de ces deux catégories d’arguments, vous ne devriez pas hésiter pas à nous en faire part ! On vous écoute.
Adelineest végétarienne depuis 15 ans, un choix qu'elle a réussi à affirmer avec les années. Pour elle, le végétarisme est un mode de vie qui s'inscrit dans une démarche globale. J’ai 35 ans, je suis végétarienne depuis une quinzaine d’années. Tout a commencé l’été de mes 19 ans. Un soir, je suis tombée sur un reportage
Bienvenue ! Je m’appelle Katy Gawelik, j’ai 50 ans. Je suis obsédée par la cuisine, la cuisine saine et gourmande ! Tous les jours, je prends soin de mon corps et de la Planète ! Je suis heureuse de partager avec vous ma philosophie de vie ! Je vous conseille Les Gourmandes Astucieuses Mon blog de recettes végétariennes de plus en plus Vegan saines et gourmandes ! Ecolo-bio-nature Le blog d’Isabelle Brunet sur la Permaculture, l’autonomie et la survie Esprit Permaculture Notre association destinée à promouvoir la Permaculture dans tous les domaines de votre vie
SectionGourmand de LaPresse.ca: Alimentation, nutrition, végétarisme
Agir pour l'environnement est une association de mobilisation citoyenne nationale en faveur de l'environnement. Priartem, est une association qui informe et soutien les actions, les démarches et agit auprès des instances publiques pour l’obtentions de règles respectueuses des conditions de vie et de la santé pour tous Pas de surprises lorsque ces deux organismes partent en guerre sur les effets des portables sur la santé ; en particulier chez les enfants, en interpellant Agnès Buzin, la ministre de la santé, pour qu’elle fasse voter l’interdiction de l’utilisation du portable avant l’âge de 12 ans. Les arguments existent depuis longtemps pour limiter l’usage de ces téléphones, pas seulement chez les enfants, mais chez tout le monde ! Par principe de précaution d’abord ; parce qu’aucune étude réellement sérieuse n’a réussi à démontrer un effet neutre ou négatif. Certains vers de terre ont mal supporté ; C’est démontré. Mais la généralisation à l’humain n’a pas été apportée. Et le recul devient assez important pour être un peu rassurés. En revanche les dégâts collatéraux, plutôt du domaine de la psychiatrie sont avérés, sans oublier le désastre de leur utilisation au volant, qui elle est parfaitement interdite mais mal respectée. Le débat des pour ou contre », en ce qui concerne une éventuelle interdiction avant 12 ans va donc s’intensifier dans les mois à venir. Contre l’interdiction. Les enfants ; c’est une évidence mais il ne faut pas oublier le pouvoir de persuasion de l’enfant-roi, qui au-delà de ce que lui apporte réellement le téléphone, en fait sa possession, un des must de mode, comme en son temps le walkman pour ses parents ou le transistor pour ses grands-parents. Ensuite c’est un outil qui permet de braver les interdits ceux de bavardage à tout heure avec les réseaux sociaux, et de contenu, avec l’accès à Internet. Les parents le monde angoissant décrit par les médias, fait d’agression et de racket, devient beaucoup plus supportable, lorsque l’on a la garantie de savoir, à chaque instant, où se trouve le chérubin des applications de géolocalisation sont déjà très populaires et de pouvoir être certain, qu’au moindre problème le portable va sonner. Il n’y a pas beaucoup d’arguments contre cela… Enfin, il ne faut pas oublier les fabricants de téléphones, qui sont des sociétés plus puissantes que les états et qui vont certainement agiter, face à la menace sur un marché très important, leurs forces en lobbying ; autant auprès des élus, que sur les réseaux sociaux, dont ils sont les inventeurs et les principaux bénéficiaires. Pour l’interdiction. Les associations, comme celles qui viennent d’adresser une lettre à la ministre, demandent des mesures concrètes. D’abord l’interdiction de deux modèles, le Kidicom Max et le RX-901 de Simvalley, qui ont été créés exclusivement pour cette cible des moins de 12 ans et dont les fabricants savent trouver de solides arguments publicitaires sentimentaux, pour interpeller les parents. Les enfants n’ont, eux, besoins d’aucuns arguments pour se convaincre. Juste d’un peu d’aide marketing pour forcer la décision des parents. Cette démarche des associations est motivée par la double exposition des enfants aux ondes et aux écrans. Pour les ondes comme nous l’avons déjà écrit, les preuves manquent sur une nocivité organique. En revanche, les arguments ne manquent pas pour leur imputer – là encore à tous âges – une responsabilité sur les troubles du sommeil, la concentration , la somnolence pendant la journée et surtout des troubles de la mémoire. Des effets encore plus dévastateurs chez les tous petits. Un des aspects pas forcement souligné par ces organisations est l’inquiétude des pédopsychiatres sur la mise à disposition – via le smartphone – de contenu, en particulier pornographique, dont on ne va pas tarder à mesurer l’incidence En pratique Il est peu probable qu’une interdiction du portable avant 12 ans soit décidée par les élus. En revanche, il faut militer sur deux notions Si le téléphone portable paraît un achat indispensable, il ne faut en aucun cas que ce soit un smartphone. Impérativement un téléphone sans accès internet. Ce sera une protection en partie contre les dérives de contenu… Ensuite, mais cela est valable pour toute la famille, répéter sans arrêt les règles de bon usage du portable Limiter la durée de communication à 3 minutes, attendre 15 minutes entre chaque appel. L’usage du kit main libre qui éloigne le téléphone de la tête est recommandé non pas en voiture où il est interdit mais au domicile ou dans la rue. Enfin ne pas oublier qu’avant 12 ans, c’est pour l’enfant une période clef pour se livrer, sans limites ni restrictions, à une pratique fondamentale pour sa vie future jouer dehors avec ses copains jusqu’à ce que la fatigue le terrasse ; car avant le téléphone , l’inactivité et sa conséquence l’obésité sont les deux menaces principales contre sa santé. Ce sujet vous intéresse ? Venez en discuter sur notre forum ! Onne mange pas ses amis: le plaidoyer de Matthieu Ricard pour le végétarisme Près de 60 milliards d’animaux terrestres et 1 000 milliards d’animaux marins sont tués par an pour notre consommation. le moine bouddhiste Matthieu Ricard propose de changer nos comportements. Pour le bien de "nos amis les animaux", mais aussi des humains.

Par Collectif - Journalistes scientifiques et diététiciennes Publié le 26/11/2012 Mis à jour le 10/03/2017 Les régimes végétariens ou végétaliens diminueraient le risque de cancer. Le cancer et les maladies cardiovasculaires représentent les deux premières causes de mortalité dans les pays riches. L'impact d'un aliment en particulier sur le risque de cancer est souvent difficile à déterminer car on consomme plus souvent un ensemble de composés au sein d'un régime alimentaire. Une nouvelle étude a donc voulu déterminer l'impact d'un régime semi-végétarien, pesco-végétarien, ovo-lacto-végétarien ou végétalien sur le risque de cancer comparativement à un régime types de végétarismeIl existe différents types de végétarisme. On distingue principalement Le lacto-végétarisme aucune consommation de chair animale mais les produits laitiers sont autorisésL'ovo-lacto-végétarisme aucune consommation de chair animale mais les produits laitiers et les oeufs sont autorisésLe pesco-végétarisme aucune consommation de chair animale mais la consommation de poissons est occasionnelleLe semi-végétarisme aucune consommation de chair animale sauf de manière occasionnelleLe végétalisme aucune consommation de chair animale ou de produits dérivés ni oeufs ni produits laitiersLes résultats des chercheurs s'appuient sur l'analyse des habitudes alimentaires de plus de 69 000 adventistes Américains, un mouvement Chrétien, suivis depuis 2002. Jusqu'en 2011, 2 939 cas de cancers avaient été aux personnes qui suivent un régime omnivore celles qui ont adopté un régime végétarien ont 16% moins de risque de développer un cancer, tous types de végétarisme confondus. La protection semble accrue pour les femmes avec une diminution du risque pouvant atteindre 34%. Plus spécifiquement, un régime ovo-lacto-végétarien semble particulièrement protecteur face aux cancers gastro-intestinaux 25% moins de risque. Ces résultats confirment donc de précédentes lire également sur ce thème La viande rouge mauvaise pour la santé et la planèteRéférenceTantamango-Bartley Y, Jaceldo-Siegl K, Fan J, Fraser G. VEGETARIAN DIETS AND THE INCIDENCE OF CANCER IN A LOW-RISK POPULATION. Cancer Epidemiol Biomarkers Prev. 2012 Nov 20. Publicité Nous vous conseillons aussi La sélection Publicité Les meilleurs livres et compléments alimentaires sélectionnés pour vous par NUTRISTORE, la boutique de la nutrition. Découvrir la boutique Le bon choix au supermarché 2022 - Ebook Format EPUB Collectif Bien manger Bien manger Meilleures ventes 5,49 € Guide des index glycémiques IG Collectif Bien manger Régime IG index glycémique Bien manger IG - index glycémique 6,90 € Le bon choix au supermarché 2022 Collectif Bien manger Bien manger 15,80 € Comment jeûner Dre Èvelyne Bourdua-Roy-Sophie Rolland Bien manger Bien manger 22,90 € Pack du bon choix - 3 livres brochés Thierry Souccar Editions Bien manger Packs 37,40 € Les recettes du régime IG - Ebook Format EPUB A. Geers & O. Degorce -Angélique Houlbert Bien manger IG - index glycémique Index glycémique Bien manger 9,99 € Le bon choix pour cuisiner Juliette Pouyat-Leclère Bien manger Bien manger 14,95 € Pourquoi tout compliquer ? BIEN MANGER EST SI SIMPLE Anthony Fardet Santé publique Bien manger Bien manger 19,89 € Le guide complet du jeûne Dr Jason Fung Cancer Bien manger Bien manger 24,95 € Guide des aliments antioxydants Juliette Pouyat-Leclère Antioxydants Bien manger Bien manger Antioxydants 6,99 € Le compteur de glucides Thierry Souccar Editions Bien manger Cétogène 7,99 € Les kits nutrition Thierry Souccar Santé publique Bien manger Bien manger 9,90 € A découvrir également Les sushis bénéficient de l'aura diététique de l'alimentation japonaise traditionnelle. À juste titre ? Zoom sur les avantages et inconvénients santé des sushis et de leurs accompagnements. Poissons et produits de la mer Comment choisir son poisson pour éviter le mercure. Avec une piste pour se protéger par la supplémentation. L’alimentation joue un rôle dans l’évolution de l’arthrose. Pour lutter contre la maladie, privilégiez des aliments anti-oxydants et anti-inflammatoires !

Opterpour un régime végétarien permet de : Préserver les forêts naturelles et protéger les espèces menacées. 1. Réduire les émissions de gaz à effet de serre. L’élevage de bétail émet
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Vacancesdu pouvoir ? Par Abdoulaye THIAM*. Il n’y a pas eu de conseil des ministres hier, mercredi 24 août. Un fait rarissime pour ne pas être relevé ; surtout que le président de la
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  • 10 arguments pour et contre le végétarisme