SadurĂ© est fixĂ©e par la loi : le dĂ©lai de forclusion est de 2 ans, aux termes de l’article L137-2 du Code de la Consommation. Comme le dĂ©lai de prescription, le dĂ©lai de forclusion a Ă©tĂ© abaissĂ© par la rĂ©forme de 2008. Toujours dans une optique de protection du consommateur. Il Ă©tait auparavant de 30 ans. À l’inverse du dĂ©lai

Le non-professionnel, qui peut se prĂ©valoir de certaines dispositions du code de la consommation, est dĂ©sormais dĂ©fini comme toute personne morale qui n'agit pas Ă  des fins professionnelles. A l’occasion de la ratification des ordonnances n° 2016-301 du 14 mars 2016 relative Ă  la partie lĂ©gislative du code de la consommation et n° 2016-351 du 25 mars 2016 sur les contrats de crĂ©dit aux consommateurs relatifs aux biens immobiliers Ă  usage d’habitation, la loi n° 2017-203 du 21 fĂ©vrier 2017 apporte plusieurs modifications audit code. Beaucoup corrigent des maladresses et scories, notamment consĂ©cutives Ă  la renumĂ©rotation opĂ©rĂ©e par l’ordonnance du 14 mars 2016. Mais l’une d’elles doit plus particuliĂšrement retenir l’attention en ce qu’elle remanie et prĂ©cise la notion de non-professionnel, contribuant ainsi, dans la continuitĂ© de la jurisprudence antĂ©rieure Ă  l’ordonnance du 14 mars 2016, Ă  mieux dĂ©limiter le champ d’application du droit de la consommation. Gestion d'entreprise La gestion d’entreprise constitue l’essentiel de l’activitĂ© d’un dirigeant d’entreprise. Elle fait appel Ă  un grand nombre de notions empruntĂ©es de la comptabilitĂ© analyse du bilan, compte de rĂ©sultat, prĂ©visionnel, budgĂ©tisation..., de la finance la gestion des risques au moyen de la gestion des actifs et des assurances professionnelles, du droit des affaires choix du statut juridique, contrats commerciaux, fiscalitĂ© DĂ©couvrir tous les contenus liĂ©s Dans sa rĂ©daction issue de l’ordonnance du 14 mars 2016, le troisiĂšme alinĂ©a de l’article liminaire du code de la consommation dĂ©finissait le non-professionnel comme toute personne morale qui agit Ă  des fins qui n’entrent pas dans le cadre de son » activitĂ© commerciale, industrielle, artisanale, libĂ©rale ou agricole. Cette dĂ©finition, manifestement rĂ©digĂ©e en considĂ©ration de celle du consommateur figurant Ă  l’alinĂ©a prĂ©cĂ©dent et de celle du professionnel figurant Ă  l’alinĂ©a suivant, posait des difficultĂ©s d’interprĂ©tation. Elle sous-entendait, en effet, que la personne morale revendiquant la qualitĂ© de non-professionnel exerçait nĂ©cessairement une activitĂ© commerciale, industrielle, artisanale, libĂ©rale ou agricole. L’article visant par ailleurs toute » personne morale, il s’en infĂ©rait qu’une sociĂ©tĂ© commerciale pouvait revendiquer la qualitĂ© de non-professionnel. Or, la jurisprudence rendue sous l’empire du droit antĂ©rieur Ă  l’ordonnance, malgrĂ© quelques hĂ©sitations Cass. 3e civ., 4 fĂ©vr. 2016, n° appliquait la notion aux seules personnes morales sans activitĂ© lucrative, telles que les associations, les comitĂ©s d’entreprise ou les syndicats de copropriĂ©taires Cass. 1re civ., 25 nov. 2015, n° Ă  l’exclusion des sociĂ©tĂ©s commerciales Cass. com., 3 dĂ©c. 2013, n° C’est pour Ă©viter que ces personnes morales sans activitĂ© lucrative soient exclues du champ de la dĂ©finition, et que les sociĂ©tĂ©s commerciales y soient Ă  l’inverse accueillies, que ladite dĂ©finition vient d’ĂȘtre remaniĂ©e. En consĂ©quence, le nouvel alinĂ©a 3 de l’article liminaire du code de la consommation dĂ©finit dĂ©sormais le non-professionnel comme toute personne morale qui n’agit pas Ă  des fins professionnelles C. consom., art. prĂ©liminaire, al. 3, mod. par L. n° 2017-203, 21 fĂ©vr. 2017, art. 3. La nouvelle loi est en vigueur depuis le 23 fĂ©vrier 2017. Remarque en application de cette nouvelle dĂ©finition, les juges utiliseront sans doute, pour identifier le non-professionnel, l’ancien critĂšre du rapport direct ou non de l’acte litigieux avec l’activitĂ© professionnelle de celui rĂ©clamant le bĂ©nĂ©fice du code de la consommation Cass. com., 16 fĂ©vr. 2016, n°
Laloi vient principalement durcir l’échelle des peines existantes en matiĂšre environnementale (par exemple en matiĂšre de pollution marine : article L. 218-11 ; article L. 218-34 ; article L. 218-48 ; article L. 218-64 ; article L. 218-73 du Code de l’environnement) ou d’activitĂ©s illĂ©gales de sites protĂ©gĂ©s (L. 331-26 et L. 331-27 du Code de l’environnement) et
Dans un arrĂȘt rendu le 26 janvier 2017 Cass. civ. 3, 26 janvier 2017, n° FS-P+B+R la Cour de Cassation prĂ©ciser que la prescription biennale de l’article 218-2 du code de la consommation n’avait pas vocation Ă  s’appliquer pour l’action du bailleur professionnel contre son locataire. Pour mĂ©moire, l’article 218-2 du code de la consommation prĂ©voit que action des professionnels, pour les biens ou les services qu’ils fournissent aux consommateurs, se prescrit par deux ans. » Dans l’affaire soumise Ă  la Haute Juridiction, un Tribunal d’Instance s’était appuyĂ© sur cette disposition pour dĂ©clarer prescrite l’action en paiement d’un bailleur contre son locataire qui avait Ă©tĂ© introduite plus de deux ans aprĂšs l’exigibilitĂ© des sommes rĂ©clamĂ©es, au motif que le bailleur Ă©tait un professionnel dont le contrat de location devait s’analyser en un contrat de fourniture de service. A tort, selon la Cour de Cassation qui rappelle que le bail d’habitation, rĂ©gi par la loi du 6 juillet 1989, obĂ©it Ă  des rĂšgles spĂ©cifiques, lesquelles sont exclusives du droit de la consommation et qu’en consĂ©quence, l’action du propriĂ©taire bailleur Ă©tait soumise au dĂ©lai de prescription triennal de l’article 7-1 de ladite loi, nonobstant sa qualitĂ© de bailleur professionnel. Rappelons que la loi ALUR du 27 mars 2014 avait dĂ©jĂ  instaurĂ© un dĂ©lai de prescription spĂ©cifique pour les actions dĂ©rivant d’un contrat de location, rĂ©duit Ă  3 ans au lieu du dĂ©lai de 5 ans de droit commun prĂ©cĂ©demment applicable. La Cour de Cassation vient prĂ©ciser que ce nouveau dĂ©lai triennal n’avait pas lieu d’ĂȘtre encore rĂ©duit d’une annĂ©e en fonction de la qualitĂ© du bailleur. Enmars 2015, la deuxiĂšme chambre civile de la Cour de cassation est venue prĂ©ciser qu’est soumise Ă  la prescription biennale de l’article L. 137-2 (ancien) du Code de la consommation (N° Lexbase : L7231IA3) la demande de l’avocat en fixation de ses honoraires dirigĂ©e contre une personne physique ayant eu recours Ă  ses services Ă  des fins n’entrant pas L’action d’un professionnel Ă  l’égard d’un consommateur pour les biens et les services fournis se prescrit par deux ans. Les professionnels dont les clients sont consommateurs croient gĂ©nĂ©ralement Ă  tort que les dĂ©lais de prescription auxquels ils sont soumis sont ceux relevant du droit commun. Les dĂ©lais de prescription classique ont Ă©tĂ© fixĂ©s Ă  5 ans depuis l’entrĂ©e en vigueur de la loi du 17 juin 2008. NĂ©anmoins, il existe dans le code de la consommation, une rĂšgle dĂ©rogatoire Ă  ce dĂ©lai de prescription qui fixe un dĂ©lai plus court Ă  2 ans. Dans un avis du 4 juillet 2016 Cass., avis, 4 juill. 2016, n° 16006, la Cour de cassation a pu rappeler que les actions d’un professionnel Ă  l’égard d’un consommateur Ă©taient soumises Ă  un dĂ©lai biennal prĂ©vu par l’article L 218-2 du code de la consommation ancien article L137-2. Ainsi, la prescription des crĂ©ances pĂ©riodiques nĂ©es d'une crĂ©ance fixĂ©e par un titre exĂ©cutoire, dont bĂ©nĂ©ficie un professionnel Ă  l'Ă©gard d'un consommateur, est soumise au dĂ©lai biennal de prescription applicable au regard de la nature de la crĂ©ance Selon la Cour de cassation, le texte de l’article L 218-2 du code de la consommation ne distingue pas selon le type d’action, et notamment pas entre les actions en paiement en vue d’obtenir un titre exĂ©cutoire un jugement par exemple et celles en recouvrement en vertu d’un tel titre saisies, etc
. DĂšs lors, quelque que soit l’action qui doit ĂȘtre menĂ©e par le professionnel qui souhaite recouvrer sa crĂ©ance, il devra veiller Ă  agir dans le dĂ©lai de deux ans. De plus, la jurisprudence admet mĂȘme que la fin de non recevoir d’une telle action engagĂ©e par un professionnel en dehors du dĂ©lai peut ĂȘtre relevĂ©e d’office par le juge Cass. Civ. 1re 9 juillet 2015, n°
Articleliminaire ; Replier Livre III : CRÉDIT (Articles L311-1 Ă  L354-6). Replier Titre Ier : OPÉRATIONS DE CRÉDIT (Articles L311-1 Ă  L315-23). Replier Chapitre II : CrĂ©dit Ă  la consommation (Articles L312-1 Ă  L312-94). DĂ©plier Section 1 : Champ d'application (Articles L312-1 Ă  L312-4)
Le Lundi 28 septembre 2020 Le diagnostic de performance Ă©nergĂ©tique DPE renseigne sur la consommation Ă©nergĂ©tique et le taux d’émission de gaz Ă  effet de serre d’un logement ou d’un bĂątiment. Il est obligatoire en cas de vente ou de location d’un logement, permettant Ă  chaque mĂ©nage français qui achĂšte ou loue un bien immobilier de mieux mesurer son impact environnemental et d’avoir une Ă©valuation de sa facture Ă©nergĂ©tique Le diagnostic de performance Ă©nergĂ©tique DPE deux Ă©tiquettes et des recommandations pour mieux informer les mĂ©nages Le diagnostic de performance Ă©nergĂ©tique DPE s’inscrit dans le cadre de la politique Ă©nergĂ©tique dĂ©finie au niveau europĂ©en afin de rĂ©duire la consommation d’énergie des bĂątiments et de limiter leurs Ă©missions de gaz Ă  effet de serre. Le DPE dĂ©crit le bĂątiment ou le logement surface, orientation, murs, fenĂȘtres, matĂ©riaux, etc., ainsi que ses Ă©quipements de chauffage, de production d’eau chaude sanitaire, de refroidissement et de ventilation. Il indique, suivant les cas, soit la quantitĂ© d’énergie effectivement consommĂ©e sur la base de factures, soit la consommation d’énergie estimĂ©e pour une utilisation standardisĂ©e du bĂątiment ou du logement. Le contenu et les modalitĂ©s d’établissement du DPE sont rĂ©glementĂ©s par des dĂ©crets et arrĂȘtĂ©s. Sauf cas particuliers, un DPE est valable 10 ans. La lecture du DPE est facilitĂ©e par deux Ă©tiquettes Ă  7 classes de A Ă  G A correspondant Ă  la meilleure performance, G Ă  la plus mauvaise l’étiquette Ă©nergie pour connaĂźtre la consommation d’énergie primaire ; l’étiquette climat pour connaĂźtre la quantitĂ© de gaz Ă  effet de serre Ă©mise. Bien entendu, les consommations rĂ©elles des bĂątiments dĂ©pendent trĂšs directement des conditions d’usage et de la tempĂ©rature effective de chauffage ; les consommations estimĂ©es ne sont donc pas une garantie contractuelle, mais elles permettent une comparaison objective de la qualitĂ© des logements et bĂątiments mis en vente ou louĂ©s. Le diagnostic comprend Ă©galement des recommandations qui permettent Ă  l’acquĂ©reur, au propriĂ©taire, au bailleur ou au locataire, de connaĂźtre les mesures les plus efficaces pour Ă©conomiser de l’énergie il s’agit de conseils de bon usage et de bonne gestion du bĂątiment et de ses Ă©quipements, ainsi que de recommandations de travaux. Ces travaux conseillĂ©s ne sont pas obligatoires le DPE a pour objectif d’inciter Ă  amĂ©liorer la performance Ă©nergĂ©tique du bĂątiment, pas d’obliger Ă  la rĂ©alisation de travaux. Attention Il ne faut pas confondre le DPE avec tout autre diagnostic ne rĂ©pondant pas aux mĂȘmes exigences qui pourrait vous ĂȘtre proposĂ© par des professionnels non certifiĂ©s pour l’établir. La loi Elan rend le DPE opposable Ă  partir du 1er janvier 2021 Ă  l’exception des recommandations qui conserveront un caractĂšre informatif. A partir de cette date, le DPE ne sera plus seulement fourni Ă  l'acquĂ©reur ou au locataire Ă  des fins d'information. Ces derniers pourront s'en prĂ©valoir Ă  l'encontre du propriĂ©taire ou du bailleur. Par ailleurs, un chantier de fiabilisation du DPE sera menĂ© en 2019, conformĂ©ment Ă  l’engagement pris par le Gouvernement dans le cadre du Plan de rĂ©novation Ă©nergĂ©tique des bĂątiments et afin de prĂ©parer l’entrĂ©e en vigueur de l’opposabilitĂ© du dispositif. Ce chantier prĂ©voit notamment une mise Ă  jour de la mĂ©thode de calcul conventionnel et sa gĂ©nĂ©ralisation Ă  tous les bĂątiments d’habitation disparition des DPE Ă©tablis Ă  partir des factures d’énergies. Des diagnostiqueurs certifiĂ©s Le diagnostic de performance Ă©nergĂ©tique doit ĂȘtre Ă©tabli par un professionnel indĂ©pendant satisfaisant Ă  des critĂšres de compĂ©tence et ayant souscrit une assurance. Des organismes de certification de personnes, accrĂ©ditĂ©s par le COFRAC comitĂ© français d’accrĂ©ditation, vĂ©rifient les compĂ©tences des candidats. Cette certification est obligatoire depuis le 1er novembre 2007. Plus de 7 000 professionnels sont actuellement certifiĂ©s pour la rĂ©alisation du DPE. Les diagnostiqueurs peuvent se dĂ©clarer auprĂšs des intermĂ©diaires immobiliers et des notaires qui pourront ainsi recourir Ă  leurs services pour faire rĂ©aliser ces diagnostics. Guides pour l’établissement d’un DPE Ces guides contiennent notamment des indications pour formuler les recommandations de travaux Diagnostic de performance Ă©nergĂ©tique guide pour l'inspection sur site PDF - Mo Diagnostic de performance Ă©nergĂ©tique guide de recommandations pour les diagnostiqueurs PDF - Mo Affichage du DPE dans les annonces immobiliĂšres L’affichage du DPE dans les annonces immobiliĂšres vise Ă  amĂ©liorer, le plus en amont possible, l’information des acquĂ©reurs et loueurs de biens immobiliers sur leurs impacts environnementaux et Ă©conomiques, de sorte que la performance Ă©nergĂ©tique du bien devienne un des Ă©lĂ©ments constitutifs du choix. Il doit Ă©galement permettre d’amener le propriĂ©taire Ă  faire rĂ©aliser un diagnostic de performance Ă©nergĂ©tique par un professionnel certifiĂ© dĂšs l’annonce de la mise en vente et de la location de son bien immobilier, comme le prĂ©voit dĂ©jĂ  la loi ; d’encourager le locataire potentiel Ă  demander le diagnostic de performance Ă©nergĂ©tique ; d’inciter les propriĂ©taires et les bailleurs Ă  rĂ©aliser des travaux d’économie d’énergie ; de valoriser le bien du propriĂ©taire si celui-ci est performant d’un point de vue Ă©nergĂ©tique. En cas d’absence d’affichage de la performance Ă©nergĂ©tique dans l’annonce immobiliĂšre, les dispositions de droit commun s’appliquent au plan civil, le dol article 1116 du code civil peut rĂ©sulter de la dissimulation d’un fait qui, s’il avait Ă©tĂ© connu, aurait conduit l’acquĂ©reur Ă  ne pas contracter ou Ă  le faire Ă  un prix moindre ; la sanction est la nullitĂ© de l’acte ou la rĂ©duction du prix ; au plan pĂ©nal, le grief de publicitĂ© de nature Ă  induire en erreur art L 121-1 du code de la consommation peut ĂȘtre relevĂ© par les services des fraudes et faire l’objet des sanctions de l’article L 213-1 du mĂȘme code 2 ans de prison, 37 500 euros d’amende. Au-delĂ  de ces dispositions, la sanction sera surtout celle du marchĂ© immobilier une annonce prĂ©sentant des informations incomplĂštes ne sera pas considĂ©rĂ©e comme fiable par les candidats Ă  l’acquisition ou Ă  la location. Cette mesure s’applique depuis le 1er janvier 2011 aux 900 000 transactions et aux millions de locations rĂ©alisĂ©es chaque annĂ©e. Textes de rĂ©fĂ©rence sur le DPE En pratique Le diagnostic de performance Ă©nergĂ©tique en pratique Le diagnostic de performance Ă©nergĂ©tique est-il obligatoire pour les ERP ? Diagnostics immobiliers oĂč trouver un diagnostiqueur certifiĂ© RĂ©glementation technique de la construction Outre-Mer Diagnostics techniques immobiliers
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Art L. 218-2 CHAPITRE IX - DISPOSITIONS D'ORDRE PUBLIC (Art. L. 219-1) TITRE DEUXIÈME - RÈGLES DE FORMATION ET D'EXÉCUTION DE CERTAINS CONTRATS (Art. L. 221-1 - Art. L. 224-113) TITRE TROISIÈME - LOI APPLICABLE AUX CONTRATS TRANSFRONTALIERS (Art. L. 231-1 - Art. L. 232-6) TITRE QUATRIÈME - SANCTIONS (Art. L’ordonnance n° 2016-131 du 10 fĂ©vrier 2016 portant rĂ©forme du droit des contrats et du rĂ©gime gĂ©nĂ©ral de la preuve des obligations a Ă©tĂ© publiĂ©e au Journal Officiel le 11 fĂ©vrier 2016. Les dispositions de cette ordonnance rentreront normalement en vigueur le 1er octobre 2016. Il est Ă  noter que si le droit des contrats est sensiblement remodelĂ©, la rĂ©forme de la responsabilitĂ© civile contractuelle et prĂ©contractuelle fera l’objet d’un projet de loi ultĂ©rieur qui sera dĂ©battu devant le Parlement. L’objet du prĂ©sent Flash Concurrence » est de prĂ©senter de maniĂšre synthĂ©tique, tel un pense-bĂȘte, les principales modifications – sans chercher Ă  ĂȘtre exhaustifs – apportĂ©es Ă  notre droit civil des contrats qui se retrouve dĂ©sormais aux articles 1101 Ă  1231-7 du sous-titre I dĂ©nommĂ© LE CONTRAT » du Titre III du Livre III du Code civil. Ce Flash Concurrence » sera suivi de nombreux autres qui seront respectivement consacrĂ©s au dĂ©sĂ©quilibre significatif, Ă  la dĂ©termination du prix, aux clauses de hardship », Ă  l’information prĂ©contractuelle, Ă  la cessation de la relation contractuelle, etc. I. LA SUPPRESSION DE CERTAINES NOTIONS On notera, tout d’abord, la suppression du terme convention » qui laisse place dĂ©finitivement au terme contrat » lequel rĂ©sulte d’un accord de volontĂ©s entre deux ou plusieurs personnes destinĂ© Ă  crĂ©er, modifier, transmettre ou Ă©teindre des obligations article 1101. On remarquera Ă©galement la disparition du concept de cause. Si cela risque de faire discourir les thĂ©oriciens du droit, il est loin cependant d’ĂȘtre certain que cela change l’approche des praticiens
 La notion d’objet » disparaĂźt Ă©galement pour ĂȘtre remplacĂ©e par celle de contenu » article 1128 et articles 1162 et suivants. Il est prĂ©vu dĂ©sormais que le contrat ne peut dĂ©roger Ă  l’ordre public ni par ses stipulations ni par son but, que ce dernier ait Ă©tĂ© connu ou non par toutes les parties article 1162. Nous noterons que cette rĂ©fĂ©rence au but renvoie finalement Cetteformule est conforme au texte de l’article L218-2 du Code de la consommation. C’est Ă  compter de la rĂ©alisation de la vente ou de la prestation de service, que prend naissance le dĂ©lai de deux ans durant lequel le professionnel peut rĂ©clamer le paiement de ce qui lui est dĂ». Auteurs Julien Skeif, Ghislaine Betton et Flavie Bost PubliĂ© le 27/06/2022 27 juin juin 06 2022 Par un arrĂȘt du 25 mai 2022 , la premiĂšre chambre civile de la Cour de cassation vient de prĂ©ciser que la prescription biennale prĂ©vue par le code de la consommation n’est pas applicable au crĂ©dit-bailleur agissant en revendication de son bien lorsque le crĂ©dit-preneur n’a pas levĂ© l’option d’achat. Comme nous l’exposions dans un rĂ©cent article, l’article 2224 du Code civil prĂ©voit que, par principe, le dĂ©lai de prescription de droit commun, c’est-Ă -dire celui au-delĂ  duquel une partie ne peut plus engager une action en justice, est de 5 ans lorsqu’aucun texte ne spĂ©cifie une durĂ©e diffĂ©rente. Par exception, en application de l’article prĂ©citĂ©, les professionnels qui fournissent des biens ou des services aux consommateurs sont soumis Ă  une prescription biennale de deux ans pour agir en justice. AprĂšs l’expiration de ce dĂ©lai, le professionnel ne peut donc plus engager de poursuites judiciaires Ă  l’encontre du consommateur. Par ailleurs, pour mĂ©moire, le crĂ©dit- bail ou " leasing ", est une opĂ©ration financiĂšre par laquelle un Ă©tablissement de crĂ©dit appelĂ© "crĂ©dit-bailleur" donne en location un bien Ă  un locataire appelĂ© "crĂ©dit-preneur". Le crĂ©dit-preneur peut ensuite dĂ©cider, Ă  un moment quelconque du contrat gĂ©nĂ©ralement Ă  son Ă©chĂ©ance, de devenir propriĂ©taire du bien en levant l’option d’achat que lui confĂšre ce dernier. Dans le cadre de l’exĂ©cution du crĂ©dit-bail, lorsque le crĂ©dit-preneur se rend responsable de dĂ©fauts de paiement entrainant sa rĂ©siliation, ou lorsqu’il ne lĂšve pas l’option d’achat, il doit par principe restituer au crĂ©dit-preneur le bien mis Ă  sa disposition. S’il ne le fait pas, l’établissement de crĂ©dit a la possibilitĂ© de demander en justice la restitution de son bien en introduisant une action en revendication, c’est-Ă -dire une action en justice permettant de faire reconnaĂźtre et sanctionner un droit de propriĂ©tĂ©. En cas de succĂšs, une telle action aboutit Ă  la restitution du bien objet du droit de propriĂ©tĂ© revendiquĂ©. Compte tenu de ce qui prĂ©cĂšde, la question s’est posĂ©e de savoir si le crĂ©dit-preneur ayant la qualitĂ© de consommateur pouvait invoquer la prescription biennale du code de consommation pour Ă©chapper Ă  l’action en revendication introduite par le crĂ©dit-bailleur. C'est Ă  cette question originale que l’arrĂȘt commentĂ© apporte une rĂ©ponse. En l’espĂšce, Ă  l’arrivĂ©e du terme d’un crĂ©dit-bail portant sur un vĂ©hicule automobile, le crĂ©dit-bailleur a mis en demeure le crĂ©dit-preneur de lever l’option d’achat ou, Ă  dĂ©faut, de lui restituer le vĂ©hicule objet du contrat. Ce courrier Ă©tant restĂ© lettre morte, le crĂ©dit-bailleur a donc assignĂ© son cocontractant en restitution du vĂ©hicule et en paiement d'une indemnitĂ© en rĂ©paration de son prĂ©judice de jouissance. Pour sa dĂ©fense, le crĂ©dit-preneur a soulevĂ© la prescription biennale prĂ©vue Ă  l’article du code de consommation dans la mesure oĂč le terme du contrat Ă©tait survenu le 27 octobre 2013 alors que l’action en revendication n’avait Ă©tĂ© introduite par le crĂ©dit-bailleur que le 20 avril 2016. En appel, les juges du fonds montpelliĂ©rain ont rejetĂ© cet argumentaire considĂ©rant que la prescription prĂ©vue par le code de la consommation n'Ă©tait pas applicable Ă  la cause, et que l'action en restitution Ă©tait recevable. Le crĂ©dit-preneur a alors rĂ©itĂ©rĂ© son argumentaire devant la Cour de cassation en faisant Ă  valoir que l'action en restitution du crĂ©dit-bailleur Ă  son encontre, sur le fondement du crĂ©dit-bail, Ă©tait une action personnelle mobiliĂšre soumise Ă  la prescription extinctive biennale, puisque formĂ©e Ă  l’encontre d’un consommateur. Cependant, la haute Cour a rejetĂ© le pourvoi en estimant que l’article L. 218-2 du code de la consommation 
 n'est pas applicable Ă  l'action formĂ©e par le crĂ©dit-bailleur qui, aprĂšs l'expiration du contrat ayant pour objet la location d'une voiture, en demande la restitution au preneur n'ayant pas levĂ© l'option d'achat ». Afin de justifier cette solution, la premiĂšre chambre civile rappelle Que les articles 2227 et 2266 du Code civil disposent en substance que le droit de propriĂ©tĂ© est imprescriptible et qu’il n’est pas possible d'acquĂ©rir la propriĂ©tĂ© d’un bien par son utilisation prolongĂ©e ; Qu’en consĂ©quence l’action en revendication n’est pas susceptible de prescription extinctive. Ce faisant, elle approuve la cour d’appel d’avoir relevĂ© qu’au terme du crĂ©dit-bail, le preneur n’avait pas levĂ© l’option d’achat, et qu’en consĂ©quence le vĂ©hicule Ă©tait restĂ© la propriĂ©tĂ© du crĂ©dit-bailleur de sorte que l’action en restitution de celui-ci n’était pas soumise Ă  la prescription biennale. La solution mĂ©rite d’ĂȘtre approuvĂ©e dans la mesure oĂč elle opĂšre un rappel rigoureux des rĂšgles fondamentales rĂ©gissant le droit des biens, et justifie ce faisant un cantonnement raisonnable des rĂšgles de protection du consommateur eu Ă©gard aux droits dont dispose tout propriĂ©taire sur son bien. Cette dĂ©cision illustre du reste le fait que malgrĂ© son utilisation extrĂȘmement usuelle en pratique, le crĂ©dit-bail, en raison de sa nature mixte atypique bail – financement – vente soulĂšve encore des problĂ©matiques juridiques mĂ©ritant, le cas Ă©chĂ©ant, de bien dresser l’inventaire de ses droits et obligations. Fort de son expertise, le Cabinet PIVOINE AVOCATS vous conseille et vous accompagne. Pour plus d’information ou pour prendre rendez-vous, contactez-nous. 8-articulation-entre-l-action-en-revendication-du-cre-dit-bailleur-b
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Larticle L 218-2, anciennement L 137-2, du Code de la consommation Ă©nonce la prescription biennale de l’action du professionnel contre le consommateur dans le cadre de la fourniture d’un bien ou
Retour Droit immobilier et construction En matiĂšre de paiement du prix d'un bien vendu en Ă©tat futur d'achĂšvement se pose la question de la pĂ©riode pendant laquelle le paiement peut ĂȘtre un arrĂȘt rendu le 26 octobre 2017 par la troisiĂšme chambre civile N° de pourvoi 16-13591 publiĂ© au Bulletin, la Cour de cassation estime que l'article L. 137-2, devenu L. 218-2 du Code de la consommation qui dispose que l'action des professionnels, pour les biens ou les services qu'ils fournissent aux consommateurs, se prescrit par deux ans, est un texte, de portĂ©e gĂ©nĂ©rale. Ainsi, la haute Cour prĂ©cise qu’en l'absence de dispositions particuliĂšres, le texte a vocation Ă  s'appliquer Ă  l'action d'un professionnel de l'immobilier, en paiement du solde du prix de l'immeuble vendu en l'Ă©tat futur d'achĂšvement Ă  des particuliers. Avant l'entrĂ©e en vigueur de la loi n° 2008-561 du 17 juin 2008 portant rĂ©forme de la prescription, l'action en paiement du solde du prix de vente d'un bien immobilier acquis en l’état futur d’achĂšvement Ă©tait soumise au dĂ©lai de prescription de droit commun, soit trente ans, selon l'ancien article 2262 du code civil. A compter du 19. 6. 2008, date d'entrĂ©e en vigueur de la loi portant rĂ©forme de la prescription, cette action engagĂ©e par un professionnel Ă  l'Ă©gard d'un consommateur est, en vertu des articles 26 II de cette loi et 2222 alinĂ©a 2 du Code civil, soumise au dĂ©lai de prescription de deux ans de l'article L137-2 du code de la consommation, devenu l’article L. 218-2 du mĂȘme vous ĂȘtes intĂ©ressĂ©s par la question des ventes en l'Ă©tat futur d'achĂšvement, de ventes de bien immobiliers, vous pouvez contacter Me Virginie ARCELLA, avocate associĂ©e du cabinet Les Avocats du ThĂ©lĂšme, situĂ© Ă  Montpellier et BĂ©zier. Nous Ă©crire Les champs indiquĂ©s par un astĂ©risque * sont obligatoires À dĂ©couvrir DĂ©couvrez nos autres compĂ©tences Droit immobilier Ă  Montpellier Notre cabinet se spĂ©cialise en matiĂšre de droit immobilier copropriĂ©tĂ©, indivision, location, construction, vente, promesse de...
\n article l 218 2 du code de la consommation
Bonjour VĂ©olia ne peut pas vous rĂ©clamer une rĂ©gularisation de plus de deux ans. Comme le prĂ©cise l'article 218-2 du Code de la Consommation: "L'action des professionnels, pour les biens ou les services qu'ils fournissent aux consommateurs, se prescrit par deux ans.". Donc, vous envoyez une lettre de rĂ©clamation Ă  VĂ©olia, en leur demandant de recalculer leur Le dĂ©lai d’archivage des documents d’entreprise est rĂšglementĂ© en France. Nombre d’entre eux sont concernĂ©s car il est primordial de conserver une trace Ă©crite en cas de futur litige avec un fournisseur, un client voire l’administration fiscale. Les rĂšgles d’archivage des documents d’entreprise sont fixĂ©es soit par la loi, soit par les dĂ©lais de prescription avant lesquels des contrĂŽles peuvent ĂȘtre rĂ©alisĂ©s. DEVIS ARCHIVAGE Arcalys, sociĂ©tĂ© d’archivage de rĂ©fĂ©rence, vous propose une prĂ©sentation complĂšte de ces piĂšces Ă  garder prĂ©cieusement classĂ©es par domaine et nature de document, par ordre de durĂ©e. Externaliser l’archivage de ces documents professionnels peut ĂȘtre un excellent moyen de dĂ©lĂ©guer cette gestion pour rester en rĂšgle
 et gagner du temps et de la place dans vos locaux. Bonne idĂ©e ou pas ? Il est peut-ĂȘtre temps de se baser sur un devis afin de faire le calcul pour votre entreprise ! Nature des documents DurĂ©e de conservation Textes de loi Tous les documents contractuels, contrats et conventions conclus dans le cadre d’une relation ou correspondance commerciale 5 ans Article du code de commerce Les dĂ©clarations en douane 3 ans Article 16 du rĂšglement europĂ©en n°2913/92 du Conseil du 12 octobre 1992 Tout type de garanties pour les biens ou services fournis au consommateur 2 ans Article du code de la consommation Les polices d’assurance 2 ans Ă  partir de la rĂ©siliation du contrat Article du code des assurances GĂ©nĂ©ralement au cƓur de l’activitĂ© des entreprises, le document commercial peut prendre diffĂ©rents aspects. On retrouve notamment les contrats avec les clients ou fournisseurs. Le professionnel est tenu de conserver ce document pour une durĂ©e minimale de 5 ans, qu’il soit signĂ© ou non avec un commerçant. Il en va de mĂȘme pour toutes les correspondances entre l’entreprise et les clients/fournisseurs, sauf prescription spĂ©ciale rĂ©duisant la durĂ©e de conservation. A l’heure du tout numĂ©rique, le contrat Ă©lectronique est Ă©videmment rĂ©glementĂ© lui-aussi. Un professionnel doit ainsi pouvoir y accĂ©der pendant 10 ans pour toute somme Ă©gale ou supĂ©rieure Ă  120 euros en cas de demande du cocontractant. DurĂ©e de conservation des documents comptables Nature des documents DurĂ©e de conservation Textes de loi Toutes les piĂšces justificatives les bons de commande, de livraison ou de rĂ©ception, factures clients et fournisseurs
 10 ans Ă  partir de la clĂŽture de l’exercice Article du code de commerce Les livres et registres comptables livre journal, grand livre, livre d’inventaire
 10 ans Ă  partir de la clĂŽture de l’exercice Article du code de commerce Le Livre-journal dans lequel sont enregistrĂ©s de maniĂšre chronologique tous les mouvements affectant le patrimoine de l’entreprise. Le Livre d’inventaire regroupant la quantitĂ© et la valeur des Ă©lĂ©ments d’actif et de passif relevĂ©s lors de l’inventaire. Le Grand livre de comptes qui reprend les Ă©critures du livre-journal ventilĂ©es selon le plan de comptes de l’entreprise tenue et authentification des livres obligatoires. A compter de la clĂŽture de l’exercice, le dĂ©lai de conservation lĂ©gal des dossiers comptables est de 10 ans, que cela concerne les bons de commande, les bons de livraison, les factures Ă©mises ou reçues ou le livre et registre comptable. Attention Ă  bien respecter les dĂ©lai de conservation des piĂšces comptables. DurĂ©e de conservation des documents fiscaux Nature des documents DurĂ©e de conservation Textes de loi Les impĂŽts sur le revenu et impĂŽts IR sur les sociĂ©tĂ©s IS 6 ans Article B du livre des procĂ©dures fiscales Les bĂ©nĂ©fices industriels et commerciaux BIC, bĂ©nĂ©fices non commerciaux BNC et bĂ©nĂ©fices agricoles BA en rĂ©gime rĂ©el 6 ans Article B du livre des procĂ©dures fiscales Les impĂŽts sur les sociĂ©tĂ©s pour l’EIRL, des sociĂ©tĂ©s Ă  responsabilitĂ© limitĂ©e exploitations agricoles, sociĂ©tĂ©s d’exercice libĂ©ral 6 ans Article B du livre des procĂ©dures fiscales Les impĂŽts directs locaux taxes fonciĂšres, contribution Ă  l’audiovisuel public 6 ans Article B du livre des procĂ©dures fiscales Les cotisations fonciĂšres des entreprises CFE et CVAE 6 ans Article B du livre des procĂ©dures fiscales Les taaxes sur le chiffre d’affaires TVA et taxes assimilĂ©es, impĂŽt sur les spectacles, taxe sur les conventions d’assurance
 6 ans Article B du livre des procĂ©dures fiscales Bon Ă  savoir en cas d’activitĂ© occulte, fraude fiscale, travail dissimulĂ©, absence de dĂ©claration, activitĂ© illicite
 certains dĂ©lais sont Ă©tendus Ă  10 ans ! Au niveau fiscal, la durĂ©e de conservation obligatoire est Ă©tablie Ă  partir de l’annĂ©e d’imposition. Les documents relatifs aux impĂŽts sur le revenu et sur les sociĂ©tĂ©s doivent ĂȘtre conservĂ©s 3 ans, tout comme la TVA, la CFE et la CVAE. Les BIC, BNC et BA doivent pouvoir ĂȘtre prĂ©sentĂ©s pendant 2 ans, le dĂ©lai est seulement d’un an pour les impĂŽts locaux. DurĂ©e de conservation des documents sociaux Nature des documents DurĂ©e de conservation Textes de loi Les statuts d’une sociĂ©tĂ©, d’un GIE ou d’une association le cas Ă©chĂ©ant, piĂšce modificative de statuts 5 ans Ă  partir de la perte de personnalitĂ© morale ou radiation du RCS Article 2224 du code civil Le compte annuel bilan, compte de rĂ©sultat, annexe
 10 ans Ă  partir de la clĂŽture de l’exercice Article du code de commerce Les traitĂ© de fusion et autre acte liĂ© au fonctionnement de la sociĂ©tĂ© + documents de la sociĂ©tĂ© absorbĂ©e 5 ans Article 2224 du code civil Le registre de titres nominatifs. Registre des mouvements de titres. Ordre de mouvement. Registre des procĂšs-verbaux d’assemblĂ©es et de conseils d’administration. 5 ans Ă  partir de la fin de leur utilisation Article 2224 du code civil Les feuilles de prĂ©sence et pouvoirs. Rapport du gĂ©rant ou du conseil d’administration. Rapport des commissaires aux comptes. 3 derniers exercices Article du code de commerce Les piĂšces relatives Ă  la gestion du personnel doivent faire l’objet d’une conservation minutieuse. Les justificatifs de charges sociales et de taxes sur salaire doivent pouvoir ĂȘtre prĂ©sentĂ©es pendant 3 ans, les bulletins de paie salaires, primes, indemnitĂ©s, etc. et le registre unique du personnel Ă  compter du dĂ©part du salariĂ© durant 5 ans. Les durĂ©es de conservation les plus longues concernent les piĂšces liĂ©es aux accidents du travail, 10 ans correspondant Ă  la prescription de l’action en responsabilitĂ© de la victime. Les donnĂ©es individuelles de type contrat de travail ou lettre de licenciement doivent enfin ĂȘtre conservĂ©es sans limitation de durĂ©e afin de parer Ă  toute Ă©ventualitĂ© devant les prud’hommes. DurĂ©e de conservation des documents de gestion du personnel Nature des documents DurĂ©e de conservation Textes de loi Les bulletins de paie double papier ou sous forme Ă©lectronique 5 ans Article du code du travail Le registre unique du personnel 5 ans Ă  partir du dĂ©part du salariĂ© Article du code du travail Les documents concernant les contrats de travail, salaires, primes, indemnitĂ©s, soldes de tout compte, rĂ©gimes de retraite
 5 ans Article 2224 du code civil Les dĂ©clarations d’accident du travail auprĂšs de la caisse primaire d’assurance maladie 5 ans Article du code du travail Les observations ou mises en demeure de l’inspection du travail 5 ans Article du code du travail Les document relatifs aux charges sociales et Ă  la taxe sur les salaires 3 ans Article du code de la sĂ©curitĂ© sociale et Article A du livre des procĂ©dures fiscales La comptabilisation des jours de travail des salariĂ©s sous convention de forfait 3 ans Article du code du travail La comptabilisation des horaires des salariĂ©s, des heures d’astreinte et de leur compensation 1 an Article du code du travail DurĂ©e de conservation des documents juridiques Nature des documents DurĂ©e de conservation Textes de loi Les contrats d’acquisition ou de cession de biens immobiliers et fonciers 30 ans Article 2227 du code civil Les contrats conclus par voie Ă©lectronique uniquement Ă  partir de 120 € 10 ans Ă  partir de la livraison ou prestation Article du code de la consommation Les documents relatifs Ă  la propriĂ©tĂ© intellectuelle dĂ©pĂŽt de brevet, marque, dessin et modĂšle 5 ans Ă  partir de la fin de la protection Article 2224 du code civil Les dossiers d’un avocat 5 ans Ă  partir de la fin du mandat Article 2225 du code civil Les feuilles de prĂ©sence et pouvoirs. Rapport du gĂ©rant ou du conseil d’administration. Rapports des commissaires aux comptes. 3 ans Article du code de commerce Les durĂ©es de conservation des documents juridiques varient Ă©galement. Il est recommandĂ© de conserver au moins 3 ans les feuilles de prĂ©sence et autres convocations, mais Ă©galement les rapports des commissaires aux comptes et du gĂ©rant. Une durĂ©e de conservation de 5 ans est nĂ©cessaire pour les procĂšs-verbaux d’assemblĂ©es Ă  partir du dernier Ă©mis et les statuts de la sociĂ©tĂ© Ă  compter de sa disparition. Les comptes annuels de la sociĂ©tĂ© bilans, comptes de rĂ©sultats et annexes doivent ĂȘtre conservĂ©s sur 10 exercices, c’est-Ă -dire 10 ans. DurĂ©e de conservation des documents bancaires Nature des documents DurĂ©e de conservation Textes de loi Les document bancaire talon de chĂšque, relevĂ© bancaire
 5 ans Article du code de commerce DurĂ©e de conservation des documents immobilier Nature des documents DurĂ©e de conservation Textes de loi Contrat d’achat ou de cession d’un immeuble ou d’un terrain 30 ans Le contrat de bail commercial. Attention, ce dĂ©lai ne dĂ©bute qu’à la fin du bail 5 ans La mĂȘme durĂ©e s’applique pour la conservation du contrat du bail commercial. Toujours concernant l’immobilier, tout contrat d’achat ou de cession d’un immeuble ou d’un terrain doit pourvoir ĂȘtre prĂ©sentĂ© durant 30 ans. Sanctions Le non-respect de ces durĂ©es lĂ©gales de conservation peut donner lieu Ă  des sanctions commerciales, fiscales voire pĂ©nales. DEVIS ARCHIVAGE Voir notre dossier Conservation des archives Pour aller plus loin, lire notre article Comment choisir une entreprise d’archivage ? Consulter la rubrique Pourquoi externaliser les archives ? Voir aussi Pourquoi certaines entreprises ont-elles intĂ©rĂȘt Ă  externaliser leurs archives Pourquoi externaliser ses archives est avantageux et Ă©conomique ? Pourquoi externaliser ses archives ? Les 5 questions Ă  se poser pour externaliser ses archives Archives hospitaliĂšres, une externalisation dĂ©licate mais possible depuis 2009 ! Externalisation des archives publiques DĂ©finition Externalisation de l’archivage

Auvu du bilan de l'expérimentation menée en concertation avec l'ensemble des acteurs des filiÚres concernées, en application de l'article L. 112-10 du code de la consommation dans sa rédaction antérieure à la date d'entrée en vigueur de la présente ordonnance, un décret en Conseil d'Etat fixe les modalités de généralisation du dispositif

Librairie Est un consommateur, toute personne physique qui agit Ă  des fins qui n’entrent pas dans le cadre de son activitĂ© commerciale, industrielle, artisanale ou libĂ©rale. Cass. 1re civ., 8 fĂ©vr. 2017, no 15-26263 Une banque consent un prĂȘt Ă  une SCI. À la suite d’impayĂ©s, elle prononce la dĂ©chĂ©ance des termes des Ă©chĂ©ances, signifie Ă  la SCI un commandement de payer, saisit le juge de l’exĂ©cution et l’assigne finalement en paiement. La SCI soulĂšve la prescription tirĂ©e de l’article L. 218-2 du Code de la consommation. IL VOUS RESTE 79% DE CET ARTICLE À LIRE L'accĂšs Ă  l'intĂ©gralitĂ© de ce document est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s L'accĂšs Ă  l'intĂ©gralitĂ© de ce document est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Vous ĂȘtes abonnĂ© - Identifiez-vous
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  • article l 218 2 du code de la consommation